Pour réparer le mal, gouvernement a fait voter une loi d’orientation relative à l’école républicaine en juillet 2022.
Mais la mise en œuvre de ce texte, dans le contexte d’une institution publique confrontée à de nombreux problèmes (déficit d’infrastructures, manque d’eau et d’électricité, ressources humaines insuffisantes, problèmes de matériel didactique et pédagogique, insalubrité) fait des vagues.
En effet, le processus de réalisation de la nouvelle école prévoit la suppression progressive du français comme langue d’enseignement dans le primaire et fait désormais interdiction aux écoles privées, de recevoir les enfants de première, deuxième et troisième année.
Le collectif des parents d’élèves victimes de la loi d’orientation fait de la résistance.
C’est dans cet esprit qu’il a organisé un sit-in de protestation devant le Ministère de l’Education Nationale et de la Réforme du système Educatif, vendredi.
Les manifestants, en majorité des femmes, ont bravé l’interdiction des autorités et réussi à déjouer les plans de la police, pour dénoncer pacifiquement la situation « d’une école républicaine incapable de recevoir leurs enfants, du fait de classes surchargées, comptant plus de 65 élèves, un déficit d’enseignants et un manque de formation, l’insalubrité, le manque de matériel pédagogique et didactique, l’impact psychologique néfaste d’un tel environnement sur les jeunes élèves ».
Tous ces facteurs combinés « empêchent 45% des enfants mauritaniens d’accéder à l’école républicaine » selon le collectif des organisateurs de la manifestation du vendredi.
Mais la mise en œuvre de ce texte, dans le contexte d’une institution publique confrontée à de nombreux problèmes (déficit d’infrastructures, manque d’eau et d’électricité, ressources humaines insuffisantes, problèmes de matériel didactique et pédagogique, insalubrité) fait des vagues.
En effet, le processus de réalisation de la nouvelle école prévoit la suppression progressive du français comme langue d’enseignement dans le primaire et fait désormais interdiction aux écoles privées, de recevoir les enfants de première, deuxième et troisième année.
Le collectif des parents d’élèves victimes de la loi d’orientation fait de la résistance.
C’est dans cet esprit qu’il a organisé un sit-in de protestation devant le Ministère de l’Education Nationale et de la Réforme du système Educatif, vendredi.
Les manifestants, en majorité des femmes, ont bravé l’interdiction des autorités et réussi à déjouer les plans de la police, pour dénoncer pacifiquement la situation « d’une école républicaine incapable de recevoir leurs enfants, du fait de classes surchargées, comptant plus de 65 élèves, un déficit d’enseignants et un manque de formation, l’insalubrité, le manque de matériel pédagogique et didactique, l’impact psychologique néfaste d’un tel environnement sur les jeunes élèves ».
Tous ces facteurs combinés « empêchent 45% des enfants mauritaniens d’accéder à l’école républicaine » selon le collectif des organisateurs de la manifestation du vendredi.