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Litige financier avec le PSG : Mbappé passe à la vitesse supérieure

Mercredi 21 Août 2024

Le capitaine de l'équipe de France Kylian Mbappé a saisi la commission juridique de la Ligue de football professionnel pour régler son litige financier avec le PSG, son ancien club, a-t-on appris mardi de source proche du dossier, confirmant une information du Monde.
 
L'attaquant du Real Madrid est engagé depuis plusieurs semaines dans un bras de fer avec le PSG, qui a dû se résoudre à voir partir libre sa star cet été, et réclame des salaires et primes impayés.
 
Selon Le Monde, Mbappé demande le versement d'une somme de 55 millions d'euros qui comprend "l'ultime tiers d'une prime à la signature (36 millions d'euros brut) que le joueur était censé toucher en février, les trois derniers mois de salaires prévus dans son contrat (avril, mai, juin), ainsi qu'une +prime éthique+ sur ces trois mois".
 
Le quotidien indique également que Mbappé a aussi saisi l'UEFA par l'intermédiaire de la Fédération française de football (FFF).
 
Le club de la capitale n'a pas souhaité réagir mais une source proche du PSG a expliqué à l'AFP que "les choses sont beaucoup plus positives en coulisses et les discussions en cours se déroulent de manière constructive depuis de nombreux mois", ajoutant que la direction parisienne n'avait "rien reçu de la LFP ou de la FFF".
 
"Le joueur sait à quoi il s'est engagé à de multiples reprises, en public et en privé," a ajouté la source.
 
En début d'année, les deux camps avaient affirmé que Mbappé avait renoncé à une partie de ses primes dans un accord passé avec le PSG l'été dernier après sa mise à l'écart de l'équipe durant un mois. Ces primes avoisinaient alors les 60 à 70 millions d'euros, selon une source proche du club, couvrant financièrement le PSG du départ libre du joueur, qui s'est engagé avec le Real Madrid à l'issue de son contrat en juin sans indemnité de transfert.
 
Selon une source proche du dossier, le non-versement du salaire de Mbappé en avril était lié à cet accord conclu à l'été 2023 entre le joueur et le PSG.
 
 






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Arrestation Ablaye Bâ : IRA dénonce un enlèvement L’Initiative de Résurgence du mouvement

Abolitionniste (IRA), ONG anti esclavagiste et de défense des droits, dénonce « un enlèvement » attribué aux forces de l’ordre, au sujet de l’arrestation, depuis le 26 avril dernier, de Abdoulaye Bâ, responsable de l’organisation, en charge des questions d’immigration, dans une déclaration rendue publique mercredi.

Le document signale que ce militant « a été séquestré dans un lieu  inconnu, ni son avocat, sa famille et encore moins, un médecin n’ont eu  accès à lui ».
Déféré au parquet le mardi  29 avril, il a été inculpé « de discours de  haine, actes réprimés par la législation sur la cybercriminalité » et placé en détention provisoire ».
Le communiqué de l’IRA précise  qu’il est  reproché à Abdoulaye Bâ, le fait d’avoir « dénoncé le traitement inhumain infligé aux migrants » et demandé « le respect des droits des étrangers sur le sol de la République Islamique de Mauritanie » car « dans un état de droit, les mesures d’expulsion des non- nationaux, obéissent à des règles, toujours, au double impératif de la légalité et de la mansuétude ».
Une action de protection des étrangers sur le territoire mauritanien, rendue  plus pertinente encore,  par les risques de représailles  qui pèsent sur  les mauritaniens vivant dans l’espace ouest africain, en cas de poursuite des opérations d’expulsions suivant les formes dénoncées.
Le document de l’ONG avertit contre « les risques  d’une instrumentalisation de la justice, pour étouffer les voix dissidentes » et appelle  l’opinion intérieure, les organisations de défense des droits humains et la communauté internationale « à suivre de prés, les prémices d’un tour de vice autoritaire, alors que les menaces émergeantes aux frontières, commandent au pays, de soigner et consolider l’unité du front intérieur ».
      
    Synthèse MK            
 

01/05/2025