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Mussée Ardine : Aicha mint Chighaly sollicite le soutien de la première dame

Jeudi 9 Octobre 2025

Aicha mint Chighaly, directrice du musée « Ardine » et grande diva de la musique mauritanienne, sollicite un soutien au profit de l’institution privée, créé en 2019, à travers une correspondance adressée à la première dame, Mariam mint Fadel Dah.


La chanteuse « invite l’épouse du président de la République, à honorer le musée d’une visite officielle,  en signe d’encouragement aux efforts de préservation du patrimoine musical mauritanien, compte tenu de l’intérêt considérable que les autorités accordent au développement des activités touristiques ».
La correspondance signale que le Musée de l’Ardine, joue un rôle important à Nouakchott,  avec un  statut « de  destination culturelle et touristique incontournable » pour le public, les diplomates en poste dans la capitale et tous les visiteurs de passage.
La correspondance rappelle la visite du Musée Ardine par le président de la République, Mohamed Cheikh El Ghazouani, plusieurs autres membres du gouvernement et le soutien de divers partenaires parmi lesquels la région de Nouakchott.
 

Amadou Seck Seck





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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025