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Voici les résultats provisoires officiels du scrutin présidentiel du 29 juin 2024

Mardi 2 Juillet 2024

Le candidat Mohamed Cheikh El Ghazouani, a remporté au premier tour, l’élection présidentielle du samedi 29 juin 2024, avec 56,12% des suffrages exprimés, soit 554.956 voix.


Le candidat Birame Dah Abeid, député, abolitionniste, arrive deuxième, avec 22,10% des votes (218.546 voix).

Hamadi  Sid’El Moctar, candidat du parti islamiste « TAWASSOUL » principale force de l’opposition au parlement, a recueilli 12,78% (126.340 voix).

Elide  Mohamed MBareck :  3,57% (35.288 voix).

Bâ Mamadou Bocar : 2,39%(23.617 voix).

Ottoman  Antoine Soumaré : 2,06% (20.360 voix).

Le taux de participation est de 55,6%.

Ces  résultats sont contestés par les candidats de l’opposition, qui dénonce « un scrutin trouble ».

Arrivé deuxième, Biram Dah Abeid a annoncé son rejet des résultats publiés par la CENI et appelé « à la désobéissance civile pacifique ».

Les candidats disposent d’un délai de  8  jours pour introduire un recours devant le Conseil Constitutionnel.


Amadou Seck Seck






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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025