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Une école dans le désarroi

Mercredi 23 Octobre 2024

Le début de l’année scolaire 2024/2025, à la date du 07 octobre dernier, s’est effectué dans « l’improvisation » à travers le contexte d’un système éducatif marquée par une profonde crise « un désarroi » déplore l’Union des Forces de Progrès (UFP), dans une déclaration.


En ce début d’année scolaire, le  document établit le diagnostic d’un retour à l’école  «dans  l’improvisation, un chaos sans précédent (des classes pléthoriques de plus de  100 petits élèves) à tous les niveaux de la nouvelle réforme, au point de précéder au refoulement des élèves candidats à de nouvelles inscriptions, pour cause de manque de salles de classes et d’enseignants nécessaires ».
Au rang des flops, le communiqué de presse  note aussi  «des contestations générées par le mouvement d’affectation des enseignants opéré à la dernière minute, contrairement aux règles habituelle,  la levée de boucliers des écoles privées, mécontentes de leur exclusion du primaire et s’indignant des dérogations discriminatoires accordées à certaines d’entre elles, la  migration scolaire de nombreux parents ayant perdu totalement confiance en l’école publique et préférant inscrire leurs enfants dans d’autres pays, en particulier voisins ».
Pour expliquer cette situation, la déclaration de l’UFP pointe du doigt  les ratées de la mise en œuvre « d’une réforme ayant bénéficié d’un large consensus au départ, à cause d’un manque surprenant de vision stratégique, de prévision, de programmation, de planification et sans doute de moyens. Une réforme engagée dans une précipitations aux mobiles politiciens, sans un plan précis et réaliste d’accueil à l’école publique  pour les grands effectifs d’élèves et d’enseignants que l’on envisageait de retirer aux écoles privées ».
La déclaration de l’UFP réclame « la lumière sur les causes véritables des dérives à l’origine de l’échec,  des mesures urgentes pour mettre fin à la situation catastrophique actuelle de l’école (moyens humains, matériels et financiers) et une large concertation de tous les acteurs de l’éducation, pour dégager les mesures de redressement ».    
 







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Le calvaire des agents de greffes oubliés dans une distribution de terrains

18 membres du personnel des greffes des tribunaux de Mauritanie, omis dans le cadre d’une procédure d’octroi de terrains, dans la zone de Tevragh-Zeina, pour différentes raisons (départ à la retraite ou décès), malgré le principe des droits acquis, courent derrière la réparation de cette injustice depuis 2019, selon une source proche du dossier.

Cette opération est le résultat d’une décision du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM), adoptée en décembre 2013 et matérialisée en juin 2019.
 Les secrétaires de greffes et parquets, greffiers et greffiers en chef, partis à la retraite, ou décédés,  entre décembre 2013 et juin 2019, n’ont pas bénéficié de ces attributions, prévues pour un total de  330 fonctionnaires, y compris les agents actifs en décembre 2013, en vertu du principe des droits acquis.
Ainsi « depuis plusieurs années, les 18 fonctionnaires lésés, ont adressé plusieurs correspondances  aux autorités compétentes (justice, finances, domaines), suivies de multiples relances,  pour rentrer dans leurs droits. Toutes les démarches sont restées infructueuses » rappelle un document du collectif des lésés.
La dernière lettre, sous le seau de la confidentialité, adressée au ministre de la justice,  n’a pas eu de réponse.
 

08/05/2025