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Suite aux expulsions massives de ressortissants subsahariens séjournant en Mauritanie, voici le cri de cœur d'un haut cadre, entretenant de forts liens affectifs avec la communauté ivoirienne

Lundi 10 Mars 2025

Suite aux événements concernant les cartes de séjours exigées aux étrangers vivant en Mauritanie et plus particulièrement aux ressortissants ivoiriens avec qui j’ai beaucoup d’affinités,d’estimes avec qui je noues des relations très étroites d'amitié, de convivialité et de fraternité,  je viens en mon nom et au nom  du syndicat dont je suis le vice président,comme beaucoup de citoyens Mauritaniens conscient des enjeux politiques, économiques et géostratégiques manifester ma solidarité,mon soutien et ma disponibilité à cette communauté sœur avec laquelle nous avons toujours eu et continuons d'avoir, des relations séculaires basées sur la tolérance,la confiance et la fraternité. A cet effet nous  voudrions saluer les premières mesures prises déjà par notre gouvernement suite aux  premières discussions engagées  avec l'ambassadeur de notre pays frère la cote d'ivoire à Dakar , qui a aussi en charge la Mauritanie.  Nous n'occulterons pas de remercier l'ensemble des ivoiriens resident en Mauritanie avec à leur tête monsieur Soma Madou président de cette communauté ivoirienne vivant en Mauritanie qui a su garder le sang froid tout le long de ces heures difficiles qu'elle a traversé.  Nous avons confiance en la politique de notre gouvernement quant à pérennisation des accords de coopération bilatérale avec le pays du Feu President FELIX HOUPHOUET BOIGNY, Grand ami personnel de notre Feu president MOCTAR OULD DADA . Nous appelons  à la plus grande  sagesse pour le renforcement des relations bilatérales,tout en essayant de trouver des voies et moyens pour une coopération plus fluide pour le bien être des ressortissants de nos deux  communautés  respectives et celle de toutes l’Afrique de l’Ouest qui sont non seulement nos voisins mais forment avec nous un seul peuple grâce aux  liens familiaux et culturels,et les exhortons a  ne pas céder à certaines voies dissidentes et éternels frustrés qui résument leurs malheurs dans le regard de l’autre,par ailleurs nous implorons les autorités à régulariser ceux qui n’ont pas les moyens et à défaut  trouver des voies de négociation avant tout rapatriement  de ceux qui ne veulent pas se conformer aux lois et règlements en vigueur, surtout  dans le strict respect des lois et conventions internationales


Hamady Med Hamady Vice Président SYTRAPAR
Nouadhibou-Mauritanie







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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025