Menu

Polémique autour de l’arrestation de la députée Mariam Cheikh

Mardi 21 Mai 2024

Une affaire liée au processus d’inscription sur les listes électorales, ayant opposé la députée Mariam mint Cheikh, élue sous les couleurs de la coalition SAWAB/RAG, et un groupe de militants, proches de Rabiya Chérif Aidara, issue du parti « El INSAF » défraie la chronique et fait les choux gras de la presse, depuis quelques jours.


Un communiqué de l’ONG anti esclavagiste, publié depuis quelques jours, annonce le placement en  garde à vue de la députée,  à la suite d’un incident survenu au niveau d’un bureau d’inscription sur les listes électorales, dans la commune de Riad.
Ce document soutient que « la députée a été sauvagement agressée par un groupe de personnes, avant être arrêtée par le  commissariat de police  d’Arafat II, de façon suspicieuse et dans de mauvaises conditions, qui respectent pas  le strict minimum des droits d’un détenu ». 
L’organisation antiesclavagiste dénonce « un acharnement contre une militante, arrêtée en violation de la loi ».
 Une thèse battue en brèche par un communiqué  de Mme Rabiya Chérif Aidara, députée « EL INSAF » dont les partisans sont impliqués dans le même incident, publié lundi.
  Ce document  condamne  « le comportement violent d’une élue » dépourvue « de la force de l’argument, qui a choisi l’argument de la force et les  voies de  fait, pour empêcher l’inscription de citoyens sur les listes électorales ».
Une option délibérément provocatrice, dont l’origine est une histoire « imaginaire d’achat de consciences, qui n’a aucune chance de prospérer » et dont le résultat tragique est  « l’avortement, suite à une strangulation» de la jeune dame Aissata MBow, enceinte de 4 mois ».
              Sid’Ahmed     
 







AG de la FFRIM et mutation en congrès

12/06/2025

La FFRIM nomme M. Aritz López Garai à la tête de la sélection nationale “A” de Mauritanie (Communiqué)

17/01/2025

Litige financier avec le PSG : Mbappé passe à la vitesse supérieure

21/08/2024

Angleterre: Phil Foden élu "Joueur de l'année" par ses pairs

21/08/2024

À l’origine d’une campagne chauvine…

11/06/2024

Mondial 2030 : La finale se jouera au Maroc ou en Espagne

20/03/2024

RD Congo/Mauritanie: 2-0

16/11/2023

Ballon d'Or 2023 : Et de huit pour Lionel Messi

31/10/2023

Ballon d'Or : Emiliano Martinez remporte le Trophée Yachine 2023 du meilleur gardien

31/10/2023

Ballon d'Or 2023 : Jude Bellingham remporte le Trophée Kopa

31/10/2023

Flux RSS



Inscription à la newsletter

Bientôt une nouvelle centrale électrique hybride à Nouakchott

Nouakchott sera bientôt d’une dotée d’une nouvelle centrale électrique hybride solaire-éolienne, grâce à un investissement de 300 millions de dollars, annonce un communiqué du Ministère de l’Energie et du Pétrole.

Le ministre de l’économie et des finances, Sid’Ahmed ould Bouh, et le Ministre de l’énergie et du pétrole, Mohamed ould Khaled, ont signé deux (2) contrats  de Partenariat Public et Privé (PPP), avec Moulaye El ArbyBaba, Directeur Général de la société IWA GREEN ENERGY « dans le domaine de la production et de la commercialisation de l’électricité ».
Le premier contrat, de  concession (PPP), porte sur la construction d’une nouvelle  centrale électrique d’une capacité installée de 60 mégawatts (MW).
Le second contrat, d’achat d’électricité ou (PPA), définit les termes et les mécanismes d’achat de l’énergie produite au profit de la Société Mauritanienne d’Electricité (SOMELEC) ».
La nouvelle centrale électrique hybride solaire-éolienne, sera dotée » d’’une capacité de 160 MW solaire et 60 éolien.
 Grâce au projet, la Mauritanie disposera pour la première fois, d’une centrale hybride dotée d’un système de stockage d’énergie par batteries, permettant d’injecter 370 MWh d’énergie stockée.
Cette fonction est particulièrement cruciale, pendant les périodes de vent faible, durant la nuit ou en cas de faible ensoleillement, dû aux tempêtes de sable ou à la couverture nuageuse ».
La création de cette nouvelle centrale électrique hybride « rentre dans le cadre  d’une stratégie de construction et d’exploitation de nouvelles unités, dont certaines, basées sur des énergies renouvelables et d’autres sur le gaz, toutes régies par la loi sur PPP ».
Cette stratégie permet à l’état d’éviter le recours à l’endettement extérieur, en transformant le secteur de l’énergie, grâce aux investissements privés ».
Dans cette perspective, l’opérateur GREEN IWA ENERGY « prendra en charge tous les aspects financiers et techniques du projet, notamment la mobilisation de l’enveloppe  financière de 300 millions de dollars, ainsi que l’exploitation et la maintenance, des installations pendant la durée du partenariat.
La SOMELEC, de son côté, achètera et commercialisera l’électricité verte produite à un coût réduit».
La durée des travaux est prévue sur une période 12 mois.
 

Amadou Seck Seck
18/09/2025