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Observatoire National des Droits de la Femme et de la Fille (ONDFF) ; réalités et perspectives

Dimanche 19 Janvier 2025

Les militantes de l’Observatoire National des Droits de la Femme et de la Fille (ONDFF), se sont retrouvées dans un réceptif hôtelier de Nouakchott, samedi enfin d’après midi, pour un moment d’intense réflexion sous le thème « Observatoire National des Droits de la Femme et de la Fille : réalités et perspectives ».’


Pour la circonstance, l’organisation, créée il y a 3 ans, et  dirigée par Mehla mint Ahmed, a réuni une centaine de femmes et de jeunes filles, pour dresser le bilan des activités sur 2 années.
Des actions sur le terrain : accompagnement des femmes et jeunes filles, victimes de violence, large action de  sensibilisation sur les droits des femmes et filles, qui représentent plus de la moitié de la population mauritanienne, et à ce titre, doivent être au cœur des politiques de développement « dans une perspective de réalisation de tous les droits politiques, économiques et sociaux».
Un défi qu’il faudra absolument relever,  dans une société encore largement marquée par la tradition et de multiples préjugés.
Les échanges de ce samedi soir, ont permis aux militants d’exposer toutes les actions entreprises dans le cadre de la mise en œuvre d’un plan adoptée au début de l’année 2024.
Au chapitre  des perspectives, le Conseil National d’Orientation (CNO) d’ONDFF a annoncé  la poursuite des efforts de concertation avec les autorités, pour l’adoption d’une loi réprimant les violences faites aux femmes. Un  texte qui rencontre un vif rejet  de la part des milieux conservateurs depuis une décennie, faisant plusieurs fois circuit entre les ministères impliqués et le parlement.
 Par ailleurs, Intervenant dans le cadre des échanges, Fatimeta Doucouré, de la GIZ (agence de coopération allemande), a annoncé le lancement d’un projet « Renforcement des Droits des Femmes (RenFORCE), en décembre 2024, dont l’objectif est d’améliorer  la capacité des acteurs locaux (publics, privés, no-gouvernementaux) dans leur engagement en faveur des droits des femmes

Amadou Seck Seck






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Des partis et mouvements condamnent les menaces de mort de 2 députés

Plusieurs partis politiques et mouvements « expriment une vive indignation et une profonde inquiétude » au sujet des menaces de mort, visant les députés Biram Dah Abeid et Kadiata Malick Diallo, proférées à travers les Réseaux Sociaux, dans une déclaration rendue publique lundi.

Le communiqué de presse, dénonce un climat délétère  caractérisé par « une dérive sécuritaire et morale, qui s’est emparée de l’espace numérique à travers des contenus ne relevant nullement de la critique politique, certains allant jusqu’aux appels explicites aux meurtres visant directement des élus du peuple ».
Une évolution  débouchant sur «  une banalisation de la menace de mort, qui marque une rupture dangereuses avec les valeurs de notre peuple  et nos traditions  politiques ».
Face « à la gravité des faits » la   déclaration  de ces 24 partis et mouvements  issus  de l’opposition « condamne ferment  une méthode terroriste, de type fasciste ».
Par ailleurs, le communiqué de presse  relève « le silence incompréhensible et inacceptable  des autorités, de l’ensemble de la classe politique  et de la société civile, qui peut être interprété comme une garantie d’impunité » en faveur  des auteurs de ces menaces de mort.
La déclaration « dénonce avec fermeté l’inertie du pouvoir,  exige des mesures de protection en faveur des élus ciblés  et  l’ouverture d’une procédure judiciaire, pour identifier les auteurs des menaces de mort, ainsi que  la création de mécanismes de dissuasion contre de telles dérives ».
Cette déclaration  est signée des partis et mouvements suivants :
RPD, UFP, FPC, TAWASSOUL, RAG, IRA, SAWAB, RMD, UNAD, WAAD, PUJD, PMC, PAD, MNRFD, MEJDF, MPP ? MIZAGH HARATINES, DEAALEM, PMMF, AJD/MR, RENDO, PAREN VE, FRUD, UFC.     
 

30/12/2025