Menu

La Tabaski à hourra

Mercredi 12 Juin 2024

Le Mali pays à dominance musulmane risque de passer la plus dure période de son histoire contemporaine.
L'Eid Elkebir ou Tabaski pour certains et fête des Moutons pour d'autres risque pour la première fois depuis ces trente dernières années de se passer très très mal pour les maliens.




Le quotidien du malien rêvait de la précarité extrême depuis le départ des partenaires et le début de la chasse aux sorcières. Oui sorcières car c'est ainsi que la junte malienne et sa branche civilo politique conduite par un homme égocentrique qualifient les hommes publics, politiques et religieux depuis leur avènement et leur fameuse rectification de la transition qui ont denoté d'un double coup d'état.

L'auteur de cette terminologie ne saut il.pas qu'on ne rectifie pas la trajectoire d'une balle tirée.

Le manque d'électricité a occasionné une perte accrue de manque à gagner  pour les ouvriers qui constituent d'ailleurs la majorité de la classe laborieuse du pays.

Des tailleurs ont fermé atelier, des commerçants détaillant ont vu leur produits alimentaires de grande consommation pourrir sous l'effet de la chaleur, la ménagère urbaine ne peut plus compter sur le moulin du quartier du coup c'est le Hourra à la russe.

Seuls les russes de Wagner, les voleurs, les escrocs, les hypocrites et l'entourage des cinq plus un  colonels se frottent les mains en cette veille de la Grande fête des musulmans.

Contents d'avoir éloigné toutes les personnes gênantes et les voix discordantes capables de dénoncer, le pouvoir de Bamako est actuellement entre les mains de Gorobiné (ces dames d'enfer qui dévastent tout à leur passage même les relations amicales sont mise à l'épreuve sous leur influence).

Hourra à la russe, ce cri de guerre du nouveau colon, disons  du partenaire stratégique qui tue, viole et menace nos soldats nous a dénaturer et il faut s'y mettre un point et c'est tout.

En tout cas et en tout état de cause, les voix discordantes qui ont tout intérêt à s'occuper de leur liberté d'expression et d'opinion loin très très loin du Mali demeure la seule chose qui arrange la junte malienne et ses laudateurs qui empestent les réseaux sociaux et les plateformes soutenant que tout va très bien tandis que le malien lambda ne saut à quel saint se vouer.

Mais bon comme la religion musulmane le recommande   "Patience", Patientons

Chaque tyrannie a sa fin.

Vivement de beaux jours pour les musulmans
Allahou Akbar

Hamidou Elhadji TOURE
Journaliste
Ministre Secrétaire Général du Gouvernement de Trabsition Civile en Exil







AG de la FFRIM et mutation en congrès

12/06/2025

La FFRIM nomme M. Aritz López Garai à la tête de la sélection nationale “A” de Mauritanie (Communiqué)

17/01/2025

Litige financier avec le PSG : Mbappé passe à la vitesse supérieure

21/08/2024

Angleterre: Phil Foden élu "Joueur de l'année" par ses pairs

21/08/2024

À l’origine d’une campagne chauvine…

11/06/2024

Mondial 2030 : La finale se jouera au Maroc ou en Espagne

20/03/2024

RD Congo/Mauritanie: 2-0

16/11/2023

Ballon d'Or 2023 : Et de huit pour Lionel Messi

31/10/2023

Ballon d'Or : Emiliano Martinez remporte le Trophée Yachine 2023 du meilleur gardien

31/10/2023

Ballon d'Or 2023 : Jude Bellingham remporte le Trophée Kopa

31/10/2023

Flux RSS



Inscription à la newsletter

Akjoujt : Une capitale régionale plongée dans la pénurie d’eau et d’électricité

Akjoujt, chef-lieu de la région de l’Inchiri, fait face à une crise persistante et intolérable : la pénurie d’eau et d’électricité. Cette ville, pourtant connue pour être le cœur battant de l’activité minière en Mauritanie depuis plus d’un demi-siècle, souffre paradoxalement d’un dénuement total en matière de services de base.


Depuis 1968, avec l’exploitation du cuivre par la SOMIMA, suivie par la MORAK dans les années 1990, jusqu’à l’installation de la MCM (Mauritanian Copper Mines), qui exploite aujourd’hui à la fois le cuivre et l’or, Akjoujt a toujours contribué de manière significative à l’économie nationale .
Ces sociétés minières, tout en extrayant des richesses inestimables du sous-sol inchirois, laissent derrière elles une population oubliée, exposée aux dangers de produits toxiques tels que le cyanure et autres substances chimiques nocives .

Un paradoxe insoutenable

Comment comprendre qu’une région dotée de telles potentialités minières, qui alimente le budget national et le PIB du pays, ne parvienne pas à offrir à ses habitants les besoins les plus élémentaires ? 
L’absence d’eau potable, les coupures d’électricité récurrentes, l’état dégradé des infrastructures sociales et sanitaires : autant de signaux d’alerte sur un abandon administratif et politique dont sont victimes les populations locales .

Une injustice qui perdure

Au-delà du manque de services, les habitants de l’Inchiri subissent une stigmatisation persistante .
Ressortissants marginalisés, terres surexploitées, ressources épuisées et vies mises en danger : tout cela dans un silence assourdissant .
À croire que ces citoyens sont damnés sur leur propre sol, relégués à l’ombre des machines industrielles, sans reconnaissance ni contrepartie .

Un appel urgent aux autorités

Face à cette situation dramatique, nous interpellons les pouvoirs publics, au plus haut niveau, pour prendre à bras le corps ce dossier et répondre sans délai aux doléances légitimes des populations de l’Inchiri .
Il est temps de rétablir la justice, de réparer les déséquilibres et de donner à Akjoujt et à ses habitants la place qu’ils méritent : celle d’une ville riche, fière et digne .

L’exploitation des ressources ne doit plus rimer avec appauvrissement des populations locales .
Il est encore temps d’agir .


Abidine sidaty

27/06/2025