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L’UFP pour des concertations inclusives et urgentes

Lundi 22 Juillet 2024

L’Union des Forces de Progrès (UFP), un parti qui a soutenu la candidature de maitre Elide Mohamed MBareck à l’occasion de l’élection présidentielle du 29 juin 2024 « prend acte des résultats proclamés définitivement par le Conseil Constitutionnel, consacrant la réélection de Mohamed Cheikh Ghazouani » appelle « à des discussions sincères et inclusives, entre tous les acteurs politiques sans restrictions, ni conditions préalables, pour l’édification d’un nouveau système électoral » dans une déclaration rendue publique au cours du week-end .


Ces concertations devraient également trouver des solutions «  aux grandes questions nationales prioritaires : le respect des libertés,  l’amélioration substantielle des conditions de vie des populations… Comme préconisés par le Pacte Républicain ».

Ce document signé entre le gouvernement, la mouvance présidentielle d’un côté,  l’Union des Forces de Progrès (UFP) et le Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD) en septembre 2023, n’a jamais connu un début de mise en œuvre.

Abordant la crise post électorale, les camarades de Mohamed Maouloud, déplorent « les morts de Kaédi, les dizaines d’arrestations de personnes et innocentes,  le déploiement d’un impressionnant dispositif de sécurité, qui menacent les libertés élémentaires  à l’image de la coupure d’Internet, la reproduction des  mêmes pratiques d’utilisation de l’administration et des ressources de l’Etat au service du candidat du pouvoir, l’absence de garantie de transparence  et de mécanismes de contrôle du processus électoral » une situation « qui incombe principalement au gouvernement » avec une part de responsabilité d’une partie de l’opposition.

    








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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025