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Célébration de la journée de l’Afrique : l’art et la cuisine du Maroc en vedette

Dimanche 26 Mai 2024

Le gouvernement mauritanien a sacrifié à la tradition naissante, en organisant la célébration de la journée de l’Afrique, le 61é anniversaire de la création de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), ancêtre l’Union Africaine (UA), sous le thème des défis de l’éducation, ce samedi 25 mai, à l’académie diplomatique du Ministère des Affaires Etrangères, de la Coopération et des mauritaniens de l’extérieur, avec la participation de nombreux pays.


Ce 61é anniversaire de  l’organisation panafricaine, comporte une forte symbolique pour la Mauritanie,  car  intervenant  dans le  contexte  de  la présidence tournante  de l’Union  Africaine (UA), par le  chef de l Etat, Mohamed Cheikh El Ghazouani, qui a adressé un message au continent, pour  rappeler le parcours depuis les pères fondateurs, les défis du présent ,  la voie vers l’émergence,  la  souveraineté  renforcée, dans un monde multipolaire  et  proclamé sa foi en l’avenir d’un continent doté de nombreux atouts pour décoller, dans le respect de tous les principes fondamentaux : démocratie,  respect des droits humains ….

Au-delà du volet strictement diplomatique,  l’édition 2024 de la fête de l’unité africaine a revêtu une  dimension culturelle, à travers une exposition d’artisanat  et de l’art culinaire de plusieurs pays.

Dans cet exercice, le royaume du Maroc a joué pleinement sa partition,  grâce à  son art traditionnel multiséculaire, en version plus design,  des matériaux divers finement travaillés à la main, avec des machines et des outils restés largement traditionnels, des objets décoratifs et usuels,.

Des tapis, poteries, plats, plateaux, des habits traditionnels de toutes les régions, avec le caftan en vedette : reflets  d’une histoire et d’un art séculaire.

La cuisine marocaine, fortement ancrée dans la tradition méditerranéenne,  caractérisée par la variété des plats (la cuisine berbère et toutes ses influences) était également  au rendez vous, ce samedi 25 mai 2024.   








Amadou Seck Seck





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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025