Les limiers ont aussitôt ouvert une enquête pour tirer l’affaire au clair.
Une histoire de tricherie présumée, dont les ramifications pourraient remonter à une partie du corps enseignant et au-delà, sous réserves des résultats des investigations en cours.
La Mauritanie est un pays miné par la tricherie et la corruption.
Cependant, au-delà des fonctionnaires susceptibles de tomber sous le coup de loi relative à la lutte contre la corruption et d’autres dispositions légales, il est légitime de s’interroger sur la suite pénale qui sera donnée à cette affaire, concernant les jeunes élèves, qui sont en réalité victimes de la cupidité des adultes.
En effet, même si le parcours de notre système scolaire est hanté par la tricherie depuis plusieurs années, avec une tendance inquiétante introduite par les nouveaux outils du numérique, il est légitime de s’interroger sur l’existence de dispositions réprimant la tricherie en classes dans le Code Pénale ? Au nom du principe de légalité des poursuites, est- il- possible de trainer en justice ces jeunes élèves, pour une infraction non prévue par la loi?
L’appareil judiciaire est elle apte à prendre en charge ce type de problèmes ?
Avec un système éducatif plongé dans un profond coma depuis plusieurs dizaines d’années, la tourmente des familles devrait elle être poussée au-delà de l’échec scolaire qui frappe les jeunes arrêtés mercredi.
Une histoire de tricherie présumée, dont les ramifications pourraient remonter à une partie du corps enseignant et au-delà, sous réserves des résultats des investigations en cours.
La Mauritanie est un pays miné par la tricherie et la corruption.
Cependant, au-delà des fonctionnaires susceptibles de tomber sous le coup de loi relative à la lutte contre la corruption et d’autres dispositions légales, il est légitime de s’interroger sur la suite pénale qui sera donnée à cette affaire, concernant les jeunes élèves, qui sont en réalité victimes de la cupidité des adultes.
En effet, même si le parcours de notre système scolaire est hanté par la tricherie depuis plusieurs années, avec une tendance inquiétante introduite par les nouveaux outils du numérique, il est légitime de s’interroger sur l’existence de dispositions réprimant la tricherie en classes dans le Code Pénale ? Au nom du principe de légalité des poursuites, est- il- possible de trainer en justice ces jeunes élèves, pour une infraction non prévue par la loi?
L’appareil judiciaire est elle apte à prendre en charge ce type de problèmes ?
Avec un système éducatif plongé dans un profond coma depuis plusieurs dizaines d’années, la tourmente des familles devrait elle être poussée au-delà de l’échec scolaire qui frappe les jeunes arrêtés mercredi.