Cette sentence, qui corse la décision initiale, intervient après un réquisitoire du Ministère Public réclamant une peine de 20 ans de prison, prononcé il y a quelques semaines.
L’ex homme fort de Nouakchott, détenu depuis janvier 2023, avait écopé d’une peine de 5 ans de prison ferme, début 2024.
Ila comparu aux côtés d’une dizaine d’anciens hauts responsables et des proches, parmi lesquels 2 ex premiers ministres : Yahya ould Hademine et Mohamed Salem ould Béchir.
Il est reproché à l’ancien président, des activités illicites sous forme « de création de sociétés écrans, des comptes bancaires offshores et des transactions immobilières ».
La défense de l’ancien président et ses proches dénoncent une violation des dispositions de la constitution et un règlement de comptes visant à empêcher son retour sur la scène politique.
C’est la première fois qu’un ancien président de la République, fait l’objet d’une condamnation dans l’histoire de la Mauritanie.
L’ex homme fort de Nouakchott, détenu depuis janvier 2023, avait écopé d’une peine de 5 ans de prison ferme, début 2024.
Ila comparu aux côtés d’une dizaine d’anciens hauts responsables et des proches, parmi lesquels 2 ex premiers ministres : Yahya ould Hademine et Mohamed Salem ould Béchir.
Il est reproché à l’ancien président, des activités illicites sous forme « de création de sociétés écrans, des comptes bancaires offshores et des transactions immobilières ».
La défense de l’ancien président et ses proches dénoncent une violation des dispositions de la constitution et un règlement de comptes visant à empêcher son retour sur la scène politique.
C’est la première fois qu’un ancien président de la République, fait l’objet d’une condamnation dans l’histoire de la Mauritanie.