Aux côtés de la Mauritanie, ont également été conviés :
• Bassirou Diomaye Faye, président du Sénégal
• Joseph Boakai, président du Libéria
• Brice Clotaire Oligui Nguema, président du Gabon
• Umaro Sissoco Embaló, président de la Guinée-Bissau
L’administration Trump entend, à travers ce sommet, affirmer sa volonté de repositionner les relations États-Unis–Afrique, en mettant l’accent sur le commerce, les investissements privés et la sécurité, plutôt que sur l’aide publique. La diplomatie commerciale sera au cœur des échanges, avec une attention particulière portée aux minerais critiques, aux infrastructures stratégiques et à la cybersécurité.
Pour la Mauritanie, cette invitation intervient dans un contexte d’ouverture économique et de recherche de partenaires internationaux. Le pays ambitionne d’attirer des investissements dans les domaines des énergies renouvelables, des ressources minières, des technologies et de la logistique régionale.
Sur le plan sécuritaire, la Mauritanie est perçue par Washington comme un pilier de stabilité dans la région sahélienne, face à la recrudescence des menaces terroristes et des trafics transfrontaliers. Le président Ghazouani devrait également aborder ces enjeux lors de rencontres bilatérales en marge du sommet, avec des responsables du Département d’État et des représentants du secteur privé américain.
Ce sommet s’inscrit dans une séquence diplomatique africaine plus large, alors que l’administration Trump multiplie les signaux d’intérêt pour le continent
• Bassirou Diomaye Faye, président du Sénégal
• Joseph Boakai, président du Libéria
• Brice Clotaire Oligui Nguema, président du Gabon
• Umaro Sissoco Embaló, président de la Guinée-Bissau
L’administration Trump entend, à travers ce sommet, affirmer sa volonté de repositionner les relations États-Unis–Afrique, en mettant l’accent sur le commerce, les investissements privés et la sécurité, plutôt que sur l’aide publique. La diplomatie commerciale sera au cœur des échanges, avec une attention particulière portée aux minerais critiques, aux infrastructures stratégiques et à la cybersécurité.
Pour la Mauritanie, cette invitation intervient dans un contexte d’ouverture économique et de recherche de partenaires internationaux. Le pays ambitionne d’attirer des investissements dans les domaines des énergies renouvelables, des ressources minières, des technologies et de la logistique régionale.
Sur le plan sécuritaire, la Mauritanie est perçue par Washington comme un pilier de stabilité dans la région sahélienne, face à la recrudescence des menaces terroristes et des trafics transfrontaliers. Le président Ghazouani devrait également aborder ces enjeux lors de rencontres bilatérales en marge du sommet, avec des responsables du Département d’État et des représentants du secteur privé américain.
Ce sommet s’inscrit dans une séquence diplomatique africaine plus large, alors que l’administration Trump multiplie les signaux d’intérêt pour le continent