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Parution du premier numéro du magazine « Progrès »

Samedi 29 Juin 2024

Le premier numéro du Magazine »Progrès » qui véhicule « une vision innovante de l’économie et du développement en Mauritanie » est dans les kiosques, annonce la direction de l’organe, à travers un communiqué de presse rendu public jeudi soir.


Ce journal, qui vient enrichir l’espace médiatique d’une presse papier en  grandes difficultés depuis plusieurs années, est édité par l’agence de communication « SAHELIA » sous la direction de Peinda Diop, assistée d’une équipe dynamique et dévouée à la tache.
   « Le  Progrès » est animé par l’ambition de jouer le rôle « d’un magazine  novateur, dédié à l’analyse, la compréhension des dynamiques,  la mise en perspectives des faits et événements »ayant trait à l’économie et au développement.
Mme Peinda Diop, la Directrice de Publication, est reconnue pour son engagement en faveur « du Women Empowerment » et des actions de  lutte contre la pauvreté.
Plus qu’un simple magazine « Le Progrès » s’inscrit dans une logique d’excellence  et se positionne comme un outil apte  à accompagner l’incontournable transformation et la  diversification de l’économie mauritanienne, à l’orée de l’exploitation de nouvelles ressources gazières et minières, offrant une opportunité historique de changement de paradigme.
La manchette de ce premier numéro porte sur  l’élection présidentielle  du 29 juin  2024« le président Mohamed Cheikh El Ghazouani fixe le cap ».
 La livraison de juin  comporte également un bilan des actions de l’agence TAAZOUR « l’accès aux services de base par la solidarité nationale ».
  A découvrir dans ce numéro des  rubriques telles que « Grand Angle » et « Portrait ».
 Le magazine fait aussi un  focus sur la participation de la Mauritanie au sommet de Dallas, les perspectives et enjeux de l’exploitation de Grand Tortue/Ahmeyim (GTA), qui pourrait être au centre d’un bras de fer  entre la Mauritanie et le Sénégal d’une part, et BP de l’autre, suite à des audits ayant révélé d’énormes surcoûts liés aux nombreux retards de démarrage du projet.
 







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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025