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Mauritanie/Sénégal : Signature d’un protocole d’accord sur le contenu local dans l’exploitation de GTA

Lundi 13 Janvier 2025

Le Ministre mauritanien de l’Energie et du Pétrole, Mohamed ould Khaled, et le Ministre sénégalais du Pétrole, de l’Energie et des Mines, Biram Souley Diop, ont signé lundi, un protocole d’accord, pour la création d’un mécanisme juridique permettant la mise en œuvre de façon conjointe, de règles communes relatives au contenu local, dans le cadre de l’exploitation du projet gazier transfrontalier offshore Grand Tortue/Ahmeyim (GTA), annonce un communiqué.


Ce protocole a été signé en marge d’une visite d’amitié et de travail de 72 heures, entamée dimanche à Nouakchott, par le premier Ministre sénégalais, Ousmane Sonko, conduisant une forte  délégation.
Ce document  « à accroitre la Valeur Ajoutée locale et créer des opportunités d’emplois, au niveau local, dans le domaine de  l’expertise des biens et des services liés à l’industrie pétrolière et gazière.
Développer une main d’œuvre  locale qualifiée et compétitive.
Développer les capacités nationales dans l’industrie pétrolière et gazière, par la formation, le transfert de technologies et de connaissances, la recherche et le développement.
Renforcer la compétitivité nationale et internationale des entreprises mauritaniennes et sénégalaises.
Mettre en place un mécanisme fiable et transparent de suivi  et d’évaluation des engagements en matière de contenu local, en cohérence avec les politiques publiques nationales dans les 2 pays ».
Ce protocole  d’accord  a été signé en présence de plusieurs hauts responsables, parmi lesquels les directeurs généraux de la Société Mauritanienne des Hydrocarbures et du Patrimoine Minier (SMHPM) et de PETROSEN (Sénégal).
La Mauritanie et le Sénégal ont officiellement  annoncé le lancement de la production de GTA le 31 décembre 2024.
Celle-ci est estimée annuellement à 2,3 millions de tonnes de Gaz Naturel Liquéfié (GNL).
             
                                         Synthèse Amadou Seck          
 













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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025