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Le parquet dément des rumeurs sur le trafic de drogue et le blanchiment

Mardi 15 Octobre 2024

Le Parquet de la République près le tribunal de la wilaya de Nouakchott Ouest, dément des rumeurs persistantes sur des pratiques de trafic de drogue et de blanchiment de capitaux, véhiculées depuis quelques semaines, à travers un communiqué publié lundi.


Le parquet dément des rumeurs sur le trafic de drogue et le blanchiment
Cette déclaration est l’aboutissement « d’une enquête multisectorielle » impliquant des magistrats et les représentants des organes de contrôle « pour garantir la transparence et l’exactitude » de l’opération.
 Elle a permis d’entendre toutes les personnes  concernées « avec un examen approfondi des éléments de preuves, notamment des documents et d’autres pièces ».
Ainsi « après avoir accompli toutes les étapes prévues par la procédure légale » les enquêteurs « n’ont trouvé aucune preuve ou indication, permettant d’étayer  des allégations de trafic de drogue ou de blanchiment de capitaux, et par conséquent aucune poursuite n’est justifiée » dans le cadre du traitement de cette affaire.
Cependant « l’enquête menée a révélé que certaines actions liées au transfert de fonds, ont eu lieu en dehors du cadre légal. Ce qui nécessite de prendre les mesures nécessaires pour corriger la situation, en ordonnant aux parties concernées de se conformer strictement aux lois et règlements en vigueur».
Cette enquête fait suite à des accusations de trafic de drogue et de blanchiment  proférées par le blogueur Abderahmane ould Weddady contre une famille classée dans le jet set de Nouakchott.
Interpellé par la gendarmerie il y a quelques jours, suite à la plaine d’un certain Taleb Bouya ould Cheikh Ayah,  le blogueur a affirmé que cette action n’a pas de rapport avec les révélations à l’origine de l’enquête objet du communiqué du parquet.        
 







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Des partis et mouvements condamnent les menaces de mort de 2 députés

Plusieurs partis politiques et mouvements « expriment une vive indignation et une profonde inquiétude » au sujet des menaces de mort, visant les députés Biram Dah Abeid et Kadiata Malick Diallo, proférées à travers les Réseaux Sociaux, dans une déclaration rendue publique lundi.

Le communiqué de presse, dénonce un climat délétère  caractérisé par « une dérive sécuritaire et morale, qui s’est emparée de l’espace numérique à travers des contenus ne relevant nullement de la critique politique, certains allant jusqu’aux appels explicites aux meurtres visant directement des élus du peuple ».
Une évolution  débouchant sur «  une banalisation de la menace de mort, qui marque une rupture dangereuses avec les valeurs de notre peuple  et nos traditions  politiques ».
Face « à la gravité des faits » la   déclaration  de ces 24 partis et mouvements  issus  de l’opposition « condamne ferment  une méthode terroriste, de type fasciste ».
Par ailleurs, le communiqué de presse  relève « le silence incompréhensible et inacceptable  des autorités, de l’ensemble de la classe politique  et de la société civile, qui peut être interprété comme une garantie d’impunité » en faveur  des auteurs de ces menaces de mort.
La déclaration « dénonce avec fermeté l’inertie du pouvoir,  exige des mesures de protection en faveur des élus ciblés  et  l’ouverture d’une procédure judiciaire, pour identifier les auteurs des menaces de mort, ainsi que  la création de mécanismes de dissuasion contre de telles dérives ».
Cette déclaration  est signée des partis et mouvements suivants :
RPD, UFP, FPC, TAWASSOUL, RAG, IRA, SAWAB, RMD, UNAD, WAAD, PUJD, PMC, PAD, MNRFD, MEJDF, MPP ? MIZAGH HARATINES, DEAALEM, PMMF, AJD/MR, RENDO, PAREN VE, FRUD, UFC.     
 

30/12/2025