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Le gouvernement adopte la loi finances 2025, avec un budget de plus de 116 milliards de MRU

Samedi 19 Octobre 2024

Le gouvernement a examiné et adopté le projet de loi des finances 2025, fixant le budget de l’Etat, en recettes et dépenses à la somme de cent seize milliards huit soixante douze millions trois cents dix ouguiyas (116.872.310.000 de MRU), contre cent sept milliards sept cents quinze millions cinq cents soixante trois milles deux cinquante cinq ouguiyas (107.715.543.255 MRU) figurant dans la loi des finances rectificatives 2024,soit une progression de 8,5%, au cours d’une réunion tenue jeudi 17 octobre 2024.


Le projet de  loi des finances 2025 « reflète l’engagement à concrétiser les priorités fixées par le programme du président de la République  en alignant les ressources budgétaires sur les ambitions stratégiques du pays.
 Ce projet  loi des finances couvre également les cinq(5) axes prioritaires   de la Déclaration de Politique Générale du Gouvernement (DPG) : un état de droit et des institutions fortes avec une gouvernance moderne, une école performante, résiliente et éco durable, un capital humain , une unité nationale solide et une intégration sociale complémentaire, une sécurité et une stabilité bien assise et un rôle régional et international efficace ».
Les dépenses d’investissements « représentent 44% du budget 2025 «  à travers lequel le gouvernement « entend concrétiser ses engagements en mettant plus de ressources propres  dans  les projets stratégiques : eau, énergie, agriculture, éducation…. ».
Les projections de croissance  se situant à un taux de 5,5% pour 2025, contre 5,4% en 2024.
 







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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025