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Le directeur de l’agence des titres sécurisés confirme la découverte de 250 cas de falsification des pièces d’état-civil

Vendredi 14 Février 2025

L’'Agence nationale du registre de la population et des titres sécurisés, a confirmé ce jeudi 13 février courant, par la voix de son directeur général Sidi Ali Ould Navé, avoir instruit une enquête administrative, à la suite de l'incident relatif au citoyen surpris d’être déclaré civilement marié sans l’être dans les faits.

Les recherches ont révélé l’identification à ce jour de 250 cas de falsification des pièces d’état civil, a-t-il précisé.


Le directeur de l’agence des titres sécurisés confirme la découverte de 250 cas de falsification des pièces d’état-civil
Les investigations ont été menées au niveau du centre où l'enregistrement contrefait a eu lieu et le résultat a été transmis aux autorités judiciaires, a précisé le directeur général de l’agence dans une interview accordée hier soir à la chaine TV Sahara 24 News.
Un citoyen utilisant l'application « Mon Identité » a déposé une plainte auprès de l'agence après avoir constaté que son dossier dans l'application affichait qu'il était lié par un acte de mariage dont il n'avait aucune connaissance, a-t-il rappelé.
Le problème a été examiné par crainte qu'il s'agisse d'un défaut technique relatif à la demande tandis qu’une vérification de l’enregistrement correct de l’acte a été entreprise, conduisant à un approfondissement des recherches, lesquelles ont permis de découvrir que le document a été établi dans une autre Moughataa que celle au niveau de laquelle, la décision a été émise, a mis en exergue Ould Navé.

RIMNOW







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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025