
La déclaration dénonce le placement sous mandat-dépôt de ce cadre, comme « un acte d’acharnement » politique exécuté par une justice aux ordres, sur la base « d’un délit d’opinion ».
A l’origine des nouveaux ennuis judiciaires de l’inspecteur des finances, qui avait été arrêté en septembre 2024, un post sur sa page Face book, datant du 15 janvier 2025, à travers lequel, il dénonce « l’impunité des actes de corruption et la discrimination, au même titre que plusieurs opposants et blogueurs ».
Le document d’alerte du mouvement abolitionniste, lie la mesure de placement en détention provisoire de ce cadre « à une volonté de l’exécutif, visant à briser les revendications en faveur du renouveau démocratique et à retarder une gouvernance de redevabilité».
Par ailleurs, la déclaration de l’ONG abolitionniste, exprime de vives craintes, au sujet des conditions de détention d’Ahmed Samba Abdallahi, placé dans un endroit « avec des délinquants, sous le coup d’une peine de réclusion criminelle, qui pourraient porter atteinte à son intégrité physique ».
MK
A l’origine des nouveaux ennuis judiciaires de l’inspecteur des finances, qui avait été arrêté en septembre 2024, un post sur sa page Face book, datant du 15 janvier 2025, à travers lequel, il dénonce « l’impunité des actes de corruption et la discrimination, au même titre que plusieurs opposants et blogueurs ».
Le document d’alerte du mouvement abolitionniste, lie la mesure de placement en détention provisoire de ce cadre « à une volonté de l’exécutif, visant à briser les revendications en faveur du renouveau démocratique et à retarder une gouvernance de redevabilité».
Par ailleurs, la déclaration de l’ONG abolitionniste, exprime de vives craintes, au sujet des conditions de détention d’Ahmed Samba Abdallahi, placé dans un endroit « avec des délinquants, sous le coup d’une peine de réclusion criminelle, qui pourraient porter atteinte à son intégrité physique ».
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