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IRA dénonce le placement en détention d’Ahmed Samba Abdallahi

Lundi 27 Janvier 2025

L’Initiative de Résurgence du Mouvement Abolitionniste (IRA-ONG anti esclavagiste et de défense des droits humains), alerte contre le placement en détention préventive d’Ahmed Samba Abdallahi, inspecteur des finances, ayant fait l’objet d’une sanction précédente, à la suite d’une première arrestation, à travers un document publié samedi soir.


IRA dénonce le placement en détention d’Ahmed Samba Abdallahi
La déclaration dénonce le placement sous mandat-dépôt de ce cadre, comme « un acte d’acharnement » politique exécuté par une justice aux ordres, sur la base « d’un  délit d’opinion ».
A l’origine des  nouveaux ennuis  judiciaires de l’inspecteur des finances, qui avait été arrêté en septembre 2024, un  post sur sa page Face book, datant du 15 janvier 2025, à travers lequel, il dénonce « l’impunité des actes de corruption et la discrimination, au même titre que plusieurs opposants et blogueurs ».
Le document d’alerte du mouvement abolitionniste, lie la mesure de placement en détention provisoire  de ce cadre « à une volonté de l’exécutif, visant à briser les revendications en faveur du renouveau démocratique et à retarder une gouvernance de redevabilité».
Par ailleurs, la déclaration de l’ONG abolitionniste, exprime de vives craintes, au sujet des conditions de détention d’Ahmed Samba Abdallahi,  placé  dans un endroit « avec des délinquants, sous le coup d’une peine de réclusion criminelle, qui pourraient porter atteinte à son intégrité physique ».
    MK          
 







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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025