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Gestion des parrainages : Kane Hamidine Moctar fustige l’attitude de l’administration

Mercredi 15 Mai 2024

Kane Hamidine Moctar, candidat indépendant à l’élection présidentielle du 29 juin 2024, a fait face à la presse, mardi enfin d’après midi.


Devant les journalistes et soutiens à   sa candidatures, venus en masse, il a dénoncé le comportement anti républicain de l’administration, notamment des hakem, qui refusent de valider plus de 100 parrainages dans toutes les régions du  pays,  en dépit de l’engagement des élus municipaux  en faveur de sa candidature.

Ce constat, qui est une véritable voie de fait, perpétrée   en violation  des droits élémentaires de ceux qui parrainent, et du candidat, sont relevés  dans toutes les régions : les Hodh, l’Assaba, le Guidimakha, le  Gorgol, le Brakna, le Trarza, qui totalisent plus de 120 parrainages en  souffrance, car non validés administrativement sur, la base du simple  fait du prince, qui affirme « avoir reçu des ordres venus d’en haut ».

Kane  dénonce une tentative flagrante et inadmissible, de bloquer une candidature  « qui va à l’encontre des valeurs démocratiques, que nous avons tous le devoir de protéger pour donner à la Mauritanie, une perspective de changement ».

Un piège, des peaux de bananes glissées sous les pieds, en dépit des quels le candidat refuse de jeter l’éponge. Il proclame  la volonté inébranlable de continuer le combat, et n’exclut l’option  d’un recours face à des agissements  aux antipodes des valeurs républicaines.









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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025