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Communiqué de presse

Jeudi 17 Octobre 2024

Le Festival Culture Métisse revient en force cette année pour sa 12e édition, avec une programmation vibrante, à 90 % mauritanienne, et une expérience 100 % live, où musique et danse prennent vie sur scène. Fidèle à l’esprit des éditions précédentes, le festival reste le rendez-vous incontournable pour célébrer la richesse et la diversité culturelle de la Mauritanie


Une Edition qui S’inscrit dans la Continuité d’un Tournant Historique
 
L’édition 2023 avait marqué un tournant décisif, ouvrant un dialogue autour des défis et opportunités de l’essor de l'industrie culturelle en Mauritanie. Cette 12e édition poursuit cette ambition en renforçant les synergies entre les artistes, créateurs, et acteurs culturels du pays, consolidant une dynamique de

Coopération durable.
Une Mosaïque Humaine et Artistique

Le festival se distingue par son approche profondément humaine, offrant une scène aux voix diversifiées et rassemblant des artistes engagés. Chaque prestation devient une célébration des différences et un hommage à nos similitudes, tissant un véritable arc-en-ciel culturel. Le public pourra ainsi découvrir un mélange unique de rythmes, de danses et de sonorités, dans un esprit d’inclusion et de partage.
 

Thème 2024 : « L’Intelligence Artificielle et son Impact sur la Création Musicale »

 
Cette année, le festival plonge dans un thème contemporain et audacieux : l'impact de l’intelligence artificielle sur la musique. Une série de conférences et de performances explorera les rencontres entre créativité humaine et technologie, révélant comment l’innovation redéfinit le futur de la musique tout en interrogeant l'essence même de la création artistique.
 
Un Événement Porté par une Communauté de Partenaires Engagés
 
L'âme du festival réside dans l’engagement de ses artistes, équipes techniques, mécènes, et partenaires, que l'organisation tient à remercier chaleureusement et particulièrement l’Institut français de Mauritanie. Leur soutien renouvelé assure le succès de cette édition et reflète une confiance partagée dans le potentiel transformateur de la culture.
 

Promouvoir la Culture comme Instrument de Paix et de Développement Durable

 
Le Festival Culture Métisse n’est pas seulement une vitrine artistique mais aussi un moteur de changement social. À travers ses initiatives, il promeut la liberté d’expression, le dialogue interculturel et le vivre- ensemble harmonieux. Avec Nouakchott Music Action, cette édition poursuit la mission de renforcer le rôle de la culture en tant que levier de paix et de développement durable.
 

Un Voyage Culturel Inoubliable Vous Attend !

 
Du 23 au 26 octobre 2024, laissez-vous porter par une expérience immersive, où chaque moment sera une invitation à voyager au cœur des traditions et des nouvelles tendances artistiques. Soyez au rendez-vous et venez célébrer ensemble cette fête de la diversité, créativité et technologie se rencontrent pour esquisser l'avenir de l’art.
 







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Investi président de la BAD : défis et enjeux pour Sidi ould Tah

Elu président de la Banque Africaine de Développement (BAD), au troisième tour de scrutin, avec 76,18% des voix fin mai, l’économiste mauritanien, Sidi ould Tah, a été investi dans ses nouvelles fonctions ce lundi 01 septembre, au cours d’une cérémonie solennelle organisée dans le plus grand réceptif hôtelier de la capitale économique ivoirienne.

Un événement qui s’est déroulé en présence de plusieurs chefs d’états africains parmi lesquels Mohamed Cheikh El Ghazouani , tout le gotha de la finance, des affaires du continent et du monde.
Aussitôt investi, le nouveau patron de la BAD a proclamé sa détermination à agir en faveur « de la construction d’une Afrique robuste et prospère » malgré un contexte marqué par de nombreux défis, qui indiquent clairement les enjeux aux quels doit faire face la Banque Africaine de Développement (BAD) au cours des 5 prochaines années.
Le nouveau président de l’institution financière panafricaine « prend l’engagement de travailler dans un esprit de concertation et de collégialité, afin de poursuivre la mission qui nous unit : bâtir une Afrique robuste et prospère ».
 

Défection américaine et poids de la dette

Sur le » front »  depuis plusieurs années, entre responsabilités gouvernementales et direction de la Banque Arabe pour le Développement Economique  de l’Afrique (BADEA), le nouveau super banquier africain,  est parfaitement conscient des défis et enjeux « réduction de l’aide internationale au développement, poids de la dette et impact négatif du changement climatique ».
En effet, Sidi ould Tah prend les commandes BAD, dans un contexte compliqué  de retrait des ressources américaines du Fonds Africain de Développement (FAD), le guichet concessionnel de l’institution financière panafricaine.
 Un gap de 427 millions de dollars, qui renvoie au redoutable défi des financements alternatifs.
Un enjeu capital restitué à travers ce passage du discours du nouveau président de la BAD « l’Afrique nous regarde, la jeunesse nous attend, le temps est à l’action».
Ainsi,  au cours de ce mandat de 5 ans, la BAD doit faire face au problème de la recapitalisation, sous la poussée vertigineuse des demandes de financements, dans un contexte de baisse de l’aide publique.
La question vitale de la transformation de l’institution, pour plus d’efficacité et une adaptation aux besoins  des pays africains.
Le financement du développement à travers une plus grande mobilisation des ressources. Un défi qui établit une jonction parfaite avec la nécessité de recapitalisation.
Plus d’indépendance stratégique et soutien au secteur privé, véritable moteur de la croissance et de l’emploi, figurent également au rang des défis de la nouvelle administration de la Banque Africaine de Développement(BAD).
Sidi ould Tah est un économiste  mauritanien, natif de la région du Trarza (Sud/Ouest), âgé de 61 ans. Formé à l’université de Nouakchott et en France, il a été ministre de l’économie et Directeur Général de la Banque Arabe pour le Développement Economique  de l’Afrique (BADEA), pendant une décennie.
Fondée en 1964, la BAD, l’une des grandes banques multilatérales de développement,  compte 81 pays membres, dont 54 africains.
Le capital de l’institution est passé de 93 à 318 milliards de dollars sous la présidence du Nigérian AkiwumiAdesina, avec une notation  AAA.
Les ressources de la BAD, qui finance de nombreuses infrastructures sur le continent,  proviennent des  états membres, des emprunts effectués  sur les marchés internationaux, des remboursements et revenus des prêts.
 

Amadou Seck Seck
01/09/2025