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Ateliers sur la mise en oeuvre du Pacte Républicain

Dimanche 10 Mars 2024

Le Centre International des Conférences de Nouakchott (CICN), a abrité ce week-end, les ateliers visant la mise en œuvre du Pacte Républicain (PR), signé entre le gouvernement (ministre de l’intérieur), l’Union des Forces de Progrès (UFP), le Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD) et INSAF.


Ce document porte sur 18 points ayant des enjeux vitaux pour la Mauritanie.

Les ateliers de ce week-end sont  axés sur le thème de l’organisation transparente des élections et le statut des partis politiques.
Ils seront suivis par d’autres assises, traitant de  la cohésion et l’unité nationale, au cours des prochains jours.
Le  Comité de Pilotage pour la mise en œuvre du Pacte Républicain  s’était réuni le 25 février dernier,  sous la présidence du ministre de l’intérieur et de la décentralisation, Mohamed Ahmed ould Mohamed Lemine.
Cette réunion « a approuvé le chronogramme relatif aux modalités de mise en œuvre du Pacte Républicain, proposé par la commission technique, après l’achèvement des contacts effectués par les parties signataires du pacte » depuis  le  23 septembre 2023.
Au terme de la réunion du 25 février 2024 « le comité de pilotage a chargé la commission technique d’entamer dans les meilleurs délais, les procédures préparatoires au lancement des ateliers relatifs aux thématiques énoncées dans le pacte, conformément au chronogramme adopté ».       
C’est le ministre de l’intérieur et de la décentralisation  qui a lancé les travaux des ateliers de ce week-end, en présence de 2 autres membres du gouvernement.
Des partis non signataires du Pacte Républicain, invités par le ministre de l’intérieur, ont participé aux ateliers de ce week-end, en raison de l’importance des thématiques abordées, notamment la transparence des élections et le statut des partis politiques. Ces formations rejettent toute idée de participation au processus de mise en œuvre d’un document, dont elles ne sont pas signataires, tout en revendiquant le droit d’une participation pleine et entière, à tous les débats sur les enjeux vitaux pour la Mauritanie

Ainsi, tous les partis légalement reconnus ont été représentés à ces ateliers, en dehors de l’Alliance pour la Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Réconciliation (AJD/MR) et l’Alliance Populaire Progressiste (APP).    
 







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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025