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Après plusieurs heures à la Sûreté urbaine : Madiambal rentre libre chez lui by Lequotidien 14 décembre 2024

Samedi 14 Décembre 2024

Après plusieurs heures d’audition à la Sûreté urbaine, Madiambal Diagne est sorti libre de son face-à-face avec les policiers. «Je viens de sortir libre de la police, après avoir été entendu sur une plainte du Premier ministre Ousmane Sonko. Je tiens à remercier toutes les personnes qui m’ont témoigné de leur solidarité», a déclaré l’ancien administrateur du Groupe Avenir Communication sur X. Pour l’instant, le journaliste-écrivain reste à l’écoute de la Justice. Mais, il lui a été notifié d’autres plaintes, notamment celles de Diop Taïf et de l’homme d’affaires devenu député, Abdoulaye Sylla. Pour le cas de ce dernier, il n’a jamais été notifié au Quotidien une quelconque plainte de sa part.
Élu sur la base d une promesse de rupture avec toutes les anciennes pratiques, mais Incapable de faire face aux urgences économique et sociales, le nouveau régime de Dakar fonce tête baissée dans le piège de l'intimidation et de la répression, pour faire taire les voies discordantes.







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Des partis et mouvements condamnent les menaces de mort de 2 députés

Plusieurs partis politiques et mouvements « expriment une vive indignation et une profonde inquiétude » au sujet des menaces de mort, visant les députés Biram Dah Abeid et Kadiata Malick Diallo, proférées à travers les Réseaux Sociaux, dans une déclaration rendue publique lundi.

Le communiqué de presse, dénonce un climat délétère  caractérisé par « une dérive sécuritaire et morale, qui s’est emparée de l’espace numérique à travers des contenus ne relevant nullement de la critique politique, certains allant jusqu’aux appels explicites aux meurtres visant directement des élus du peuple ».
Une évolution  débouchant sur «  une banalisation de la menace de mort, qui marque une rupture dangereuses avec les valeurs de notre peuple  et nos traditions  politiques ».
Face « à la gravité des faits » la   déclaration  de ces 24 partis et mouvements  issus  de l’opposition « condamne ferment  une méthode terroriste, de type fasciste ».
Par ailleurs, le communiqué de presse  relève « le silence incompréhensible et inacceptable  des autorités, de l’ensemble de la classe politique  et de la société civile, qui peut être interprété comme une garantie d’impunité » en faveur  des auteurs de ces menaces de mort.
La déclaration « dénonce avec fermeté l’inertie du pouvoir,  exige des mesures de protection en faveur des élus ciblés  et  l’ouverture d’une procédure judiciaire, pour identifier les auteurs des menaces de mort, ainsi que  la création de mécanismes de dissuasion contre de telles dérives ».
Cette déclaration  est signée des partis et mouvements suivants :
RPD, UFP, FPC, TAWASSOUL, RAG, IRA, SAWAB, RMD, UNAD, WAAD, PUJD, PMC, PAD, MNRFD, MEJDF, MPP ? MIZAGH HARATINES, DEAALEM, PMMF, AJD/MR, RENDO, PAREN VE, FRUD, UFC.     
 

30/12/2025