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Une mission du ministère de la justice en France

Vendredi 29 Novembre 2024

Une mission du ministère de la justice, composée de Amar ould Ghassem, magistrat, conseiller chargé de la coopération, de l’évaluation et du suivi, et de El Houssein Cheikh Kebadi, Directeur de la Coopération et de l’Entraide Judiciaire, a conclu une visite de travail de plusieurs jours en France, vendredi.


Au cours de sa présence à Paris, la délégation mauritanienne a accompli de nombreuses  activités, notamment une série de visites et d’échanges, avec un grand nombre d’institutions.
 Les magistrats mauritaniens  ont participé « à une réunion dans les locaux de l’Agence de Gestion et de Recouvrement des Avoirs Saisis et Confisqués (AGRASC), au cours de laquelle les administrateurs, ont présenté un exposé sur les missions de l’institution et ses attributions » selon un document transmis à « Nouakchott Times ».
Dans le cadre de la mission, la délégation du ministère de la justice, avait également visité  le Bureau d’Entre Aide Pénale Internationale (BEPI), logé au sein de la Direction des Affaires Criminelles et des Grâces, au ministère français de la justice, le  Parquet Général prés la Cour d’Appel de Paris et le  Parquet Financier de Paris.
A l’occasion des rencontres et échanges, la délégation mauritanienne a reçu des explications « sur les mécanismes détaillés de coopération judiciaire et le rôle des autorités centrales dans sa promotion ».
Cette visite a également permis à la délégation mauritanienne « de se renseigner sur les mécanismes de coopération judiciaire internationale et leur rôle dans la lutte contre la criminalité transnationale organisée, en vue de mettre fin à l’impunité.
Elle a offert l’occasion  de se familiariser avec certains  mécanismes modernes et les bonnes  pratiques de coopération judiciaire internationale  en matière pénale et civile, en s’inspirant de l’expérience française dans ce domaine, en tenant compte des exigences du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales, dans la lutte contre la criminalité organisée et transnationale ».
Les résultats  de la mission du ministère de la justice en France, seront d’une grande utilité dans un contexte international à travers lequel  « l’expérience a montré que la coopération judiciaire est devenue un moyen indispensable à une lutte efficace contre la criminalité transfrontalière,  pour assurer la répression contre les auteurs, combattre l’impunité et refuser le bénéfice du produit des actes criminels, en favorisant le gel, la saisie, la confiscation des avoirs, afin de garantir les droits des victimes ».
 Une action dont le concept de base est un refus aux éventuels bénéficiaires,  toute  prime générée  par des actes criminels.
Le gouvernement mauritanien a créé récemment une autorité centrale dédiée à cet aspect,  au sein de la Direction de la Coopération et de l’Entraide Judiciaire, du ministère de la Justice.
 





Amadou Seck Seck






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Bouclier autour du président Diomaye Faye à Nouakchott

Le mouvement « And Same-Président Diomaye » va à la conquête de la diaspora sénégalaise en Mauritanie, annonce un communiqué de presse.

Cette stratégie se traduit par la mise en place d’une antenne à Nouakchott sous la houlette  du coordinateur Mamadou Gueye « dans un contexte de renouveau politique, d’espoir national et de volonté populaire de rupture, qui s’aligne résolument sur la vision du président Bassirou Diomaye  Diakhar Faye, dont le leadership incarne aujourd’hui, le dynamisme, la sobriété et l’intégrité, pour la construction d’un Sénégal souverain, juste et prospère».

Ce mouvement affiche l’ambition « de soutenir le dynamisme politique impulsé par le président Diomaye Faye, mobiliser la diaspora autour d’une participation citoyenne responsable et constructive, créer un espace d’unité et de solidarité  entre sénégalais vivant à l’étranger, encourager l’implication directe de chaque citoyen dans le processus de transformation nationale, promouvoir les valeurs de justice, d’équité, de transparence et de souveraineté portés par le nouveau pôrojet national ».

L’annonce de la naissance de ce mouvement à Nouakchott intervient dans un contexte de crise au sommet de l’exécutif au Sénégal entre le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et le premier Ministre, Ousmane Sonko, leader du parti PASTEF, locomotive de la majorité.      

 
 

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