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Premier contact entre Moussa Fall, coordinateur du dialogue et la presse

Mercredi 9 Avril 2025

Prés d’un mois après sa nomination par décret présidentiel en qualité de coordinateur du Dialogue National, le 09 mars 2025, Moussa Fall, a fait face à la presse, ce lundi 07 mars.


Une conférence de presse sur fond de rappel de la vision du président Mohamed Cheikh El Ghazouzani, par rapport à l’option fondamentale pour le débat politique «je suis fermement convaincu, tout comme vous, que la concertation et le dialogue sont la meilleure façon de gérer les affaires publiques et de traiter les grandes questions nationales ».
Ainsi, face aux journalistes, le coordinateur du dialogue national,  a évoqué le contexte  «d’une initiative  prise par le président de la République, dans un contexte dépourvu de toutes contraintes.
 Une démarche  politique et  stratégique, matérialisant  un engagement pris au cours de la campagne, pour l’élection présidentielle du 29 juin 2024, conforme aux aspirations de la classe politique et des populations ».
Ce dialogue cible tous les partis politiques légalement constitués et les 5 candidats à l’élection présidentielle du 29 juin 2024, en premier lieu.
Cependant,   le cercle des participants devrait être élargi à d’autres acteurs.
Evoquant la forme des  assises à venir, le coordinateur parle « d’un dialogue non encadré par l’administration. Une première   conduite  par une personnalité indépendante.  Un questionnaire a été transmis aux invités, pour recueillir les attentes et objectifs des différents acteurs ».
Pendant les préliminaires, les échanges portent également sur la méthodologie, les étapes et les mécanismes, à prévoir pour la mise en œuvre des futures  conclusions.
 


Amadou Seck Seck






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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025