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Bilan du partenariat UA/UNESCO dans le domaine de l’éducation

Lundi 16 Décembre 2024

Participation active et fortement remarquée, de Mme Rita Bissoonauth, représente de l’UNESCO auprès de l’Union Africaine (UA), à la Conférence Continentale sur l’Education, placée sous le thème « éduquer l’Afrique au 21é siècle » dont les assises se sont déroulées à Nouakchott du 09 au 11 décembre 2024.


La responsable de l’UNESCO salue l’organisation de la rencontre dans la capitale mauritanienne, avec la participation de quatre (4) chefs d’états, une trentaine de ministres représentants 25 pays.
Une mobilisation  conforme  à l’option de l’Union Africaine (UA), qui a décidé de faire de 2024, une  année de l’éducation, avec un prolongement dans la décennie, dans le cadre de laquelle l’UNESCO travaille en partenariat  avec la Commission de l’Union Africaine (UA).
L’implication de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science  et la Culture(UNESCO),   en parfaite conformité avec  sa mission et sa volonté, de faire progresser l’apprentissage en Afrique, dans l’objectif de garantir une éducation inclusive, de qualité et équitable, sur un continent confronté aux multiples défis de l’école, avec plus de 100 millions d’enfants et adolescents, privés d’éducation primaire et secondaire  en 2024.
Un chiffre qui pourrait atteindre  le double à l’horizon 2070, si la tendance n’est pas inversée grâce à des investissements efficients dans le domaine de l’éducation  de la part des états.
Synthèse vidéo en français et anglais      
 

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Amadou Seck Seck






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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025