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Alliance des Forces du Peuple : la mouvance de la députée Kadiata Malick Diallo, non partante

Jeudi 26 Décembre 2024

La députée Kadiata Malick Diallo, des partis politiques en attente de reconnaissance et des personnalités, se démarquent de la création de l’Alliance des Forces du Peuple (AFP), par rapport à laquelle ils n’ont pas été consultés, et réaffirment le maintient de la Coalition Espoir Mauritanie (CEM), à travers un communiqué publié mercredi soir.


Le même document rappelle que l’entité dont se réclament encore ces personnalités et partis politiques « est portée par des forces populaires aspirant au changement, bien que certaines de ses composantes, aient décidé de rejoindre l’Alliance des Forces du Peuple (AFP) ».
Par ailleurs, la déclaration exprime  la détermination des auteurs « à déployer tous les efforts, pour unir  toutes les forces de l’opposition » dans le cadre « de la nécessaire  solidarité entre tous ceux qui aspirent au changement » tout en travaillant contre l’esprit « de division et de fragmentation » dans un contexte national « marqué par une situation déplorable : la hausse des prix, le chômage, l’immigration clandestine, le trafic de drogue, les problèmes qui minent le secteur de l’éducation, de la santé, de la sécurité et de l’agriculture, les questions foncières… ».
Un contexte de  grave crise, qui exige « l’existence d’une opposition, unie  forte et active et  sans complaisance ».
Se prononçant au sujet d’une invitation du ministère  de l’intérieur, adressée  aux représentants des partis en attente de reconnaissance,  le document réaffirme l’attachement des auteurs « à l’application stricte de la loi en vigueur, concernant la reconnaissance des associations à caractère politique ».
Cette déclaration est signée de Kadiata Malik Diallo, députée, Mohamed Lemine Sidi Maouloud, Yahya ould Loud et des partis en attente d’autorisation : Changement Sérieux (CS), Pour une Mauritanie Unie et Forte (PMUF), Rassemblement des Démocrates Progressistes (RDP).
 







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Des partis et mouvements condamnent les menaces de mort de 2 députés

Plusieurs partis politiques et mouvements « expriment une vive indignation et une profonde inquiétude » au sujet des menaces de mort, visant les députés Biram Dah Abeid et Kadiata Malick Diallo, proférées à travers les Réseaux Sociaux, dans une déclaration rendue publique lundi.

Le communiqué de presse, dénonce un climat délétère  caractérisé par « une dérive sécuritaire et morale, qui s’est emparée de l’espace numérique à travers des contenus ne relevant nullement de la critique politique, certains allant jusqu’aux appels explicites aux meurtres visant directement des élus du peuple ».
Une évolution  débouchant sur «  une banalisation de la menace de mort, qui marque une rupture dangereuses avec les valeurs de notre peuple  et nos traditions  politiques ».
Face « à la gravité des faits » la   déclaration  de ces 24 partis et mouvements  issus  de l’opposition « condamne ferment  une méthode terroriste, de type fasciste ».
Par ailleurs, le communiqué de presse  relève « le silence incompréhensible et inacceptable  des autorités, de l’ensemble de la classe politique  et de la société civile, qui peut être interprété comme une garantie d’impunité » en faveur  des auteurs de ces menaces de mort.
La déclaration « dénonce avec fermeté l’inertie du pouvoir,  exige des mesures de protection en faveur des élus ciblés  et  l’ouverture d’une procédure judiciaire, pour identifier les auteurs des menaces de mort, ainsi que  la création de mécanismes de dissuasion contre de telles dérives ».
Cette déclaration  est signée des partis et mouvements suivants :
RPD, UFP, FPC, TAWASSOUL, RAG, IRA, SAWAB, RMD, UNAD, WAAD, PUJD, PMC, PAD, MNRFD, MEJDF, MPP ? MIZAGH HARATINES, DEAALEM, PMMF, AJD/MR, RENDO, PAREN VE, FRUD, UFC.     
 

30/12/2025