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Affaire Aziz : la défense réclame une évacuation en France

Samedi 20 Juillet 2024

Le collectif des avocats de la défense de Mohamed Abdel Aziz, ancien président de la République, condamné en première instance à 5 ans de prison, pour diverses infractions liées à sa décennie de gouvernance, détenu depuis prés de 2 ans, réclame son évacuation en France de toute urgence pour des soins médicaux.


Mohamed Abdel Aziz « présente un état de santé imposant un bilan  et un suivi régulier. A ce titre, il est attendu par son équipe soignante  en France, au clinique val d’or, dans les plus brefs délais.
Tout retard de prise  en charge peut être préjudiciable à sa santé » selon un document de la défense distribué à la presse.
Une urgence par rapport à laquelle les avocats attendent la réaction des autorités.
Du point de vue timing, cette requête intervient dans un contexte politique de crise post électorale, suite à la contestation des résultats du scrutin présidentiel du 29 juin 2024, par une partie de l’opposition.
 Plusieurs personnalités proches de l’ancien chef de l’Etat, partisans du boycott,  avait été arrêtées quelques heures avant le vote.      
 







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Des partis et mouvements condamnent les menaces de mort de 2 députés

Plusieurs partis politiques et mouvements « expriment une vive indignation et une profonde inquiétude » au sujet des menaces de mort, visant les députés Biram Dah Abeid et Kadiata Malick Diallo, proférées à travers les Réseaux Sociaux, dans une déclaration rendue publique lundi.

Le communiqué de presse, dénonce un climat délétère  caractérisé par « une dérive sécuritaire et morale, qui s’est emparée de l’espace numérique à travers des contenus ne relevant nullement de la critique politique, certains allant jusqu’aux appels explicites aux meurtres visant directement des élus du peuple ».
Une évolution  débouchant sur «  une banalisation de la menace de mort, qui marque une rupture dangereuses avec les valeurs de notre peuple  et nos traditions  politiques ».
Face « à la gravité des faits » la   déclaration  de ces 24 partis et mouvements  issus  de l’opposition « condamne ferment  une méthode terroriste, de type fasciste ».
Par ailleurs, le communiqué de presse  relève « le silence incompréhensible et inacceptable  des autorités, de l’ensemble de la classe politique  et de la société civile, qui peut être interprété comme une garantie d’impunité » en faveur  des auteurs de ces menaces de mort.
La déclaration « dénonce avec fermeté l’inertie du pouvoir,  exige des mesures de protection en faveur des élus ciblés  et  l’ouverture d’une procédure judiciaire, pour identifier les auteurs des menaces de mort, ainsi que  la création de mécanismes de dissuasion contre de telles dérives ».
Cette déclaration  est signée des partis et mouvements suivants :
RPD, UFP, FPC, TAWASSOUL, RAG, IRA, SAWAB, RMD, UNAD, WAAD, PUJD, PMC, PAD, MNRFD, MEJDF, MPP ? MIZAGH HARATINES, DEAALEM, PMMF, AJD/MR, RENDO, PAREN VE, FRUD, UFC.     
 

30/12/2025