Menu

Visite de Ghzaouani dans la vallée du fleuve

Dimanche 24 Novembre 2024

Le président de la République, Mohamed Cheikh El Ghazouani, effectue une visite dans les wilayas de la vallée du fleuve Sénégal : Trarza, Brakna, Gorgol et Guidimakha, ce lundi 25 novembre.


Ce voyage, intervient après le sinistre d’inondations, qui ont  touché plusieurs centaines de localités  situées sur les bords immédiats du fleuve  dans les régions de Rosso, Aleg, Kaédi et Selibaby au cours de l’hivernage 2024.
 Un immense désastre, qui a provoqué de nombreux dégâts matériels (destruction d’habitations et de moyens de subsistance), plongeant  plusieurs dizaines de  milliers de citoyens dans une nouvelle forme de précarité, dans les zones confrontées à une pauvreté endémique aggravée par le problème du changement climatique.
Suite à ces inondations, le commandement de l’administration territoriale, les services décentralisés,  les forces armées et de sécurité, ont été mobilisés pour assister les populations en détresse.
  Des  aides d’urgence du gouvernement, à travers des institutions publiques telles que le Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA), l’agence TAAZOUR, ont été apportées aux sinistrés. Plusieurs délégations ministérielles ont été également  dépêchées  dans les 4 régions.
Des actions dont l’appréciation fait l’objet de divergences. En effet, certaines voix au sein des communautés touchées et des observateurs, déplorent des actions « pas à la hauteur du désastre et des attentes ».
Le déplacement présidentiel  du lundi 25 novembre 2024 permettra-t-il  de corriger les manquements ?
    Voilà le véritable enjeu de la visite de terrain du chef de l’état.
 
 
 

Amadou Seck Seck






Chapions League Afrique mini foot : FC Barkéol proche d’un sacre historique

04/10/2025

AG de la FFRIM et mutation en congrès

12/06/2025

La FFRIM nomme M. Aritz López Garai à la tête de la sélection nationale “A” de Mauritanie (Communiqué)

17/01/2025

Litige financier avec le PSG : Mbappé passe à la vitesse supérieure

21/08/2024

Angleterre: Phil Foden élu "Joueur de l'année" par ses pairs

21/08/2024

À l’origine d’une campagne chauvine…

11/06/2024

Mondial 2030 : La finale se jouera au Maroc ou en Espagne

20/03/2024

RD Congo/Mauritanie: 2-0

16/11/2023

Ballon d'Or 2023 : Et de huit pour Lionel Messi

31/10/2023

Ballon d'Or : Emiliano Martinez remporte le Trophée Yachine 2023 du meilleur gardien

31/10/2023

Flux RSS



Inscription à la newsletter

Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025