Un incident qui provoque un énorme d’indignation sur la toile.

Ce jeune homme, âgé de 33ans, sert un récit suivant lequel « il a été arrêté au cours d’une rafle au faciès. On m’a demandé mes papiers. Je ne les avais pas. On me dit d’embarquer pour une vérification d’identité. Je crois sur paroles. Mais, j’ai tort ».
Ainsi, une fois arrivé sur les lieux censés permettre d’accomplir cette formalité « ils m’ont jeté dans un cachot étouffant, entassé avec d’autres hommes.
L’air y était irrespirable, la chaleur insupportable. On prit mes empreintes. On grava mon nom sur un registre, mais personne ne se soucia de mon corps, ni de mon histoire. En pleine nuit, on nous conduit dans un centre de rétention : murs crasseux, odeurs de sueur et d’urine, silhouettes qui erraient sans espoir. Privé de mes médicaments, je sentis mon souffle se couper, mon cœur s’accélérer, mes forces me quitter peu à peu ».
L’auteur de ce récit poignant a été libéré grâce à une forte mobilisation de la famille, suivant des conditions extrêmement regrettables.
Ce cas, devrait être mis en perspective par les plus hautes autorités et les responsables des forces de sécurité, en vue d’une approche plus humaine et intelligente de l’application de la loi.
On peut suggérer que ce jeune homme, aurait pu être accompagné à son domicile par 2 agents, pour vérifier sa véritable identité, et éviter cette grosse bourrasque sur les Réseaux Sociaux, surtout dans le contexte d’une Mauritanie plurielle, dont certains citoyens continuent à rencontrer des obstacles par rapport à l’accès aux documents d’état civil.
Cette malheureuse affaire, appelle à une prise de conscience pour promouvoir la tolérance, l’égalité et protéger les droits de tous, dans une République dont le souffle permanent renvoie à des principes fondamentaux, parmi lesquels le refus de toute forme de discrimination.
Ces rafles, opérées dans le cadre de la lutte contre l’immigration irrégulière, doivent être strictement encadrées, pour promouvoir l’égalité à travers le respect des droits humains.
Ainsi, une fois arrivé sur les lieux censés permettre d’accomplir cette formalité « ils m’ont jeté dans un cachot étouffant, entassé avec d’autres hommes.
L’air y était irrespirable, la chaleur insupportable. On prit mes empreintes. On grava mon nom sur un registre, mais personne ne se soucia de mon corps, ni de mon histoire. En pleine nuit, on nous conduit dans un centre de rétention : murs crasseux, odeurs de sueur et d’urine, silhouettes qui erraient sans espoir. Privé de mes médicaments, je sentis mon souffle se couper, mon cœur s’accélérer, mes forces me quitter peu à peu ».
L’auteur de ce récit poignant a été libéré grâce à une forte mobilisation de la famille, suivant des conditions extrêmement regrettables.
Ce cas, devrait être mis en perspective par les plus hautes autorités et les responsables des forces de sécurité, en vue d’une approche plus humaine et intelligente de l’application de la loi.
On peut suggérer que ce jeune homme, aurait pu être accompagné à son domicile par 2 agents, pour vérifier sa véritable identité, et éviter cette grosse bourrasque sur les Réseaux Sociaux, surtout dans le contexte d’une Mauritanie plurielle, dont certains citoyens continuent à rencontrer des obstacles par rapport à l’accès aux documents d’état civil.
Cette malheureuse affaire, appelle à une prise de conscience pour promouvoir la tolérance, l’égalité et protéger les droits de tous, dans une République dont le souffle permanent renvoie à des principes fondamentaux, parmi lesquels le refus de toute forme de discrimination.
Ces rafles, opérées dans le cadre de la lutte contre l’immigration irrégulière, doivent être strictement encadrées, pour promouvoir l’égalité à travers le respect des droits humains.