Ce document « met en lumière les efforts poursuivis par le gouvernement, pour préserver la stabilité macroéconomique et renforce les filets de protection sociale, malgré un ralentissement modéré de la croissance économique en 2024 ».
Expliquant les raisons du repli de la croissance, le rapport pointe « une décélération due principalement, au déclin de la production extractive et à l’affaiblissement de la consommation publique, néanmoins la performance économique du pays reste supérieure à la moyenne régionale ».
Abordant un contexte mondial marqué par l’incertitude, le rapport note que « la Mauritanie a bénéficié du recul de l’inflation, soutenu par une politique monétaire plus stricte, la chute des prix internationaux des denrées alimentaires et de l’énergie, Les efforts d’assainissement des finances publiques en cours ont permis de réduire davantage, le déficit budgétaire, grâce à une gestion prudente ».
Le document invite le gouvernement « à maintenir la dynamique des réformes macroéconomiques et structurelles, qui permettront de diversifier son économie et de créer des emplois productifs, tout en protégeant les plus vulnérables contre les chocs économiques et climatiques».
Par ailleurs « les perspectives économiques à moyen terme, restent favorables, avec une croissance de 4,9% en moyenne. Cependant, les risques liés à la volatilité des prix des matières premières et aux chocs climatiques persistent ».
Synthèse AS
Expliquant les raisons du repli de la croissance, le rapport pointe « une décélération due principalement, au déclin de la production extractive et à l’affaiblissement de la consommation publique, néanmoins la performance économique du pays reste supérieure à la moyenne régionale ».
Abordant un contexte mondial marqué par l’incertitude, le rapport note que « la Mauritanie a bénéficié du recul de l’inflation, soutenu par une politique monétaire plus stricte, la chute des prix internationaux des denrées alimentaires et de l’énergie, Les efforts d’assainissement des finances publiques en cours ont permis de réduire davantage, le déficit budgétaire, grâce à une gestion prudente ».
Le document invite le gouvernement « à maintenir la dynamique des réformes macroéconomiques et structurelles, qui permettront de diversifier son économie et de créer des emplois productifs, tout en protégeant les plus vulnérables contre les chocs économiques et climatiques».
Par ailleurs « les perspectives économiques à moyen terme, restent favorables, avec une croissance de 4,9% en moyenne. Cependant, les risques liés à la volatilité des prix des matières premières et aux chocs climatiques persistent ».
Synthèse AS