Menu

Début d’une nouvelle saison et de retour de l’ambiance au centre culturel marocain

Samedi 19 Octobre 2024

Le Complexe Culturel Marocain de Nouakchott (CCMN) a lancé la saison 2024/2025, placé sous le signe du renforcement des activités et d’une plus grande ouverture vis-à-vis de la société mauritanienne, au cours de la nuit du jeudi au vendredi, en présence d’une impressionnante assistance au sein de laquelle l’élément féminin était dominant.


La soirée du jeudi 17 octobre 2024, marquant le démarrage des activités, a été animée par des artistes mauritaniens : Cheikh Dah ould Abba, Nourra mint Mohamed Vall et le groupe « Walfajr ».
 Dans une allocution prononcé avant le début des prestations musicales, le Directeur du Complexe Culturel Marocain de Nouakchott (CCMN), Hassan Zehairi, a d’abord  rappelé les liens séculaires de fraternité entre la République Islamique de Mauritanie et le royaume du Maroc.
Le  diplomate marocain  a par la suite décliné les ambitions de l’institution pour la saison 2024/2025, avec l’objectif de promouvoir et renforcer les actions en faveur de tous les arts : théâtre, arts plastiques, cinéma….bien delà de la musique.
 











Chapions League Afrique mini foot : FC Barkéol proche d’un sacre historique

04/10/2025

AG de la FFRIM et mutation en congrès

12/06/2025

La FFRIM nomme M. Aritz López Garai à la tête de la sélection nationale “A” de Mauritanie (Communiqué)

17/01/2025

Litige financier avec le PSG : Mbappé passe à la vitesse supérieure

21/08/2024

Angleterre: Phil Foden élu "Joueur de l'année" par ses pairs

21/08/2024

À l’origine d’une campagne chauvine…

11/06/2024

Mondial 2030 : La finale se jouera au Maroc ou en Espagne

20/03/2024

RD Congo/Mauritanie: 2-0

16/11/2023

Ballon d'Or 2023 : Et de huit pour Lionel Messi

31/10/2023

Ballon d'Or : Emiliano Martinez remporte le Trophée Yachine 2023 du meilleur gardien

31/10/2023

Flux RSS



Inscription à la newsletter

Maoulod face à la presse pour un tour d’horizon de l’actualité

Le président de l’Union des Forces de Progrès (UFP), Mohamed Maouloud, a fait face à la presse ce mardi.

 Une rencontre au cours de laquelle il a abordé plusieurs sujets d’actualité : la visite du président de la République, Mohamed Cheikh El Ghazouani,  dans les 2 Hodh et son discours devant les populations,  les négociations en cours pour le règlement définitif du passif humanitaire des années 1989/1991, les incidents entre communautés Peule et Haratine dans la commune de Aéré MBare,…
Revenant sur le discours du président de la République dans les Hodh ,à travers lequel il a dénoncé  « le tribalisme,  la  corruption et plaidé pour  le dialogue politique »  Mohamed Maouloud admet la pertinence des propos, conformes à la vision et aux revendications historiques  de l’UFP.
 Toutefois, il estime qu’il faut aller au-delà de la profession de foi et des bonnes intentions « prendre des mesures immédiates pour susciter une adhésion des  populations et des forces politiques attachées  au progrès ».
Dans cette perspective, le leader de l’UFP fait preuve de prudence, en constatant que la visite du président de la République, s’est traduite par la mobilisation de tous les cadres de l’administration à travers INSAF, le parti état ; dont les responsables, tous hauts fonctionnaires « jouent désormais, le rôle de chefs de tribus » du fait de leur position d’influence au sein de la haute administration.
Le président de l’UFP a également abordé les négociations entre le pouvoir et les associations de victimes, pour un règlement définitif du passif humanitaire des années 1989/1991 et apporté le soutien du parti à cette orientation, conforme « à son  combat historique contre le chauvinisme d’état » et la répression  sur une base communautaire,   résultat d’une option délibérée du régime de Maaouya Ould Sid’Ahmed Taya, après le complot des officiers négro mauritaniens d’octobre 1987.
Mohamed Maouloud a enfin déploré les affrontements  de la commune de Aéré  MBare, entre peuls et haratines, motivés par un litige foncier. Il a rappelé une mission de l’UFP dépêchée sur place, il y a quelques mois et déploré « l’inaction » de l’administration, à l’origine du pourrissement de la situation.
 

Amadou Seck Seck
26/11/2025