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Cheikhani ould Cheikh multiplie les rencontres

Lundi 22 Juillet 2024

Cheikhani ould Cheikh, ingénieur géophysicien, qui a dirigé la campagne du candidat Mohamed El Ghazouani, dans la commune d’Al Mouyassar (département de Boutilimitt), avec à la clef d’excellents résultats, notamment 95% des suffrages recueillis et un taux de participation de plus de 90%, se montre de plus en plus actif, sur la scène diplomatique et politique


Ce jeune cadre rencontre actuellement de nombreuses personnalités

Ainsi, après un diner offert à l’ambassadeur des Emirats Arabes Unis (EAU) en Mauritanie, samedi soir, Il a reçu la visite de Moustapha ould Maouloud, ancien ministre et frère de Mohamed Maouloud, leader de l’Union des Forces de Progrès (UFP), dimanche après midi.
Celui-ci profité de la rencontre pour saluer le  bon  travail accompli, à l’occasion de l’élection présidentielle du 29 juin 2024 et féliciter le candidat Mohamed Cheikh El Ghazouani « pour son éclatante victoire ». 
 
 







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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025