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Célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse

Dimanche 4 Mai 2025

La Mauritanie, à l’instar de la communauté internationale, a célébré ce samedi 03 mai, la journée mondiale de la liberté de la presse, dans le cadre d’une cérémonie organisée au premier Centre International des Conférences de Nouakchott, sous la houlette du ministre de la culture, chargé des relations avec le parlement et porte parole du gouvernement, Houssein ould Meddou et de plusieurs centaines d’acteurs, issus du milieu des médias.


Une rencontre au cours de laquelle les syndicats de presse ont remis leurs doléances au gouvernement.
Parmi ces organisations, la section mauritanienne de l’Union Internationale de la Presse Francophone (UIPF), qui revendique « une implication à toutes les sessions de formation, le bénéfice de l’appui du fonds d’aide à la presse, la promotion de la diversité, une plus grande prise en compte des médias francophones et une aide au développement numérique des médias ».
La soirée a été marquée par un diner-débat sur le thème « intelligence artificielle et liberté de la presse » organisée dans un réceptif hôtelier de la place.
 










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Première sortie médiatique du F J de Jemil Mansour

Titulaire d’un récépissé de l’administration délivré à travers une vague concernant 5 nouveaux partis, le Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), une formation présidée par Mohamed Jemil Mansour, vieille figure de l’Islam politique, transfuge de « TAWASSOUL » dont il fût le président, a fait face à la presse samedi.

Une première sortie médiatique à l’occasion de laquelle, le président du FJC  a décliné le positionnement du parti « dans la mouvance présidentielle, pour une contribution critique » qui permet de garder la liberté d’appréciation par rapport aux enjeux essentiels aux quels  fait face le pays.
Une posture nourrie par l’ambition « d’apporter une véritable valeur ajoutée à la scène politique » et au débat national.
Au cours de la rencontre avec la presse, Jemil Mansour a abordé plusieurs sujets « la perspective du dialogue national, l’Islam, socle de l’unité nationale. La Justice et la citoyenneté. La  diversité ethnique et culturellme.la question linguistique. Le passif humanitaire. L’esclavage et ses séquelles ».
En ce mois de novembre, qui charrie des souvenirs inscrits dans les mémoires en lettres de feu et de sang,  le  leader du FJC, s’est longuement  exprimé sur » le passif humanitaire ».  Celui-ci est décrit à travers « de graves violations, qui ont culminé entre 1989,1990 et 19991, à travers des purges au sein de l’armée (tortures et assassinats de militaires négro africains, notamment peuls) et des expulsions massives de populations riveraines du fleuve, licenciements de fonctionnaires, confiscation de terres et de biens ».
Le parti préconise « une reconnaissance officielle des injustices et exactions, le lancement d’un processus de justice transitionnelle institutionnalisée, axée  sur la réparation, l’équité envers les victimes, dans un climat de vérité, de tolérance, avec un souci de dépassement».
 

Amadou Seck Seck
23/11/2025