Ainsi, après une rencontre organisée ce week-end au siège de l’Institution de l’Opposition Démocratique, il apparait clairement que des formations comme les islamistes de « TAWASSOUL » l’Union des Forces de Progrès (UFP), le Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD), le Front Républicain pour l’Unité et la Démocratie (FRUD) et Sawab, seront à la table de ce dialogue.
Considérant que la politique, tout comme « la nature à horreur du vide » ces différentes formations, sont déterminées à mettre à profit, tout espace de liberté et de concertation, pour arracher des réformes à un pouvoir « confisqué » par des chefs militaires, recyclés dans la politique depuis le début du processus démocratique, en 1992.
Discours totalement différent du côté de la coalition anti système, sous la houlette du député Biram Dah Abeid, leader anti esclavagiste, dont l’activisme au sein de la diaspora, semble de plus en plus indisposer le régime.
BDA et ses alliés considèrent que « les conditions d’un dialogue sincère, susceptible d’aboutir à des réformes, ne sont pas réunies ». Ils rejettent toute idée de participation « à une mascarade » pour ne pas servir de vernis démocratique à un pouvoir qui a hermétiquement verrouillé le jeu politique.
Les Forces Progressistes pour le Changement, l’Alliance pour la Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Réconciliation (AJD/MR) partagent la même analyse et ne seront à la table des assises du dialogue 2025, sauf retournement de dernière minute.
Une concertation nationale, sans cette partie de l’opposition, dans le contexte d’une Mauritanie « à la croisée des chemins, avec la tentation de reproduire un système d’exclusion et l’étouffement d’une aspiration sincère à une société plus juste, inclusive, et pleinement républicaine. Ignorer les forces du changement, dans un tel contexte, est une erreur aux conséquences profondes » analyse Cheikh Sidati Hamadi, cadre de la mouvance, qui insiste sur la dimension de Biram Dah Abeid comme« une voix incontournable ».
Considérant que la politique, tout comme « la nature à horreur du vide » ces différentes formations, sont déterminées à mettre à profit, tout espace de liberté et de concertation, pour arracher des réformes à un pouvoir « confisqué » par des chefs militaires, recyclés dans la politique depuis le début du processus démocratique, en 1992.
Discours totalement différent du côté de la coalition anti système, sous la houlette du député Biram Dah Abeid, leader anti esclavagiste, dont l’activisme au sein de la diaspora, semble de plus en plus indisposer le régime.
BDA et ses alliés considèrent que « les conditions d’un dialogue sincère, susceptible d’aboutir à des réformes, ne sont pas réunies ». Ils rejettent toute idée de participation « à une mascarade » pour ne pas servir de vernis démocratique à un pouvoir qui a hermétiquement verrouillé le jeu politique.
Les Forces Progressistes pour le Changement, l’Alliance pour la Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Réconciliation (AJD/MR) partagent la même analyse et ne seront à la table des assises du dialogue 2025, sauf retournement de dernière minute.
Une concertation nationale, sans cette partie de l’opposition, dans le contexte d’une Mauritanie « à la croisée des chemins, avec la tentation de reproduire un système d’exclusion et l’étouffement d’une aspiration sincère à une société plus juste, inclusive, et pleinement républicaine. Ignorer les forces du changement, dans un tel contexte, est une erreur aux conséquences profondes » analyse Cheikh Sidati Hamadi, cadre de la mouvance, qui insiste sur la dimension de Biram Dah Abeid comme« une voix incontournable ».