Ces développements interviennent après le refus du juge d’instruction, de suivre un réquisitoire du procureur de la République près le tribunal de Nouakchott Ouest, visant le placement en détention préventive de Mohamed Ghadda, pour diverses infractions parmi lesquelles « outrage à fonctionnaires et entrave à l’action de la justice ».
Le juge d’instruction avait placé le président de « Transparence Globale » en liberté sous contrôle judiciaire.
Les poursuites contre Mohamed Ghadda ont pour origine des allégations relatives une affaire de corruption, dans l’attribution d’un marché relatif à un laboratoire de police.
Une thèse réfutée par les autorités.
Le juge d’instruction avait placé le président de « Transparence Globale » en liberté sous contrôle judiciaire.
Les poursuites contre Mohamed Ghadda ont pour origine des allégations relatives une affaire de corruption, dans l’attribution d’un marché relatif à un laboratoire de police.
Une thèse réfutée par les autorités.