Cette commission « doit travailler à harmoniser les positions entre le segment de l’opposition favorable au dialogue, et la frange qui exige la satisfaction d’un certain nombre de préalables, avant toute idée de participation à la concertation préconisée par le pouvoir ».
Dans la première catégorie, favorable à la concertation, on peut citer les islamistes de TAWASSOUL, l’Union des Forces de Progrès (UFP)…. Alors que la mouvance abolitionniste du député Biram Dah Abeid, réclame « des mesures concrètes d’apaisement » de la part d’un pouvoir dont il dénonce « la multiplication des actes de mépris ».
Au-delà des informations sur les dernières tractations préliminaires au dialogue, le député BDA a abordé plusieurs questions, notamment l’actualité brûlante à travers le problème de l’eau, expression « d’une crise multiforme, dans un contexte marqué par une imposture politique, avec un pouvoir arraché par la force à l’occasion de l’élection présidentielle du 29 juin 2024 ».
Le leader abolitionniste a mis le doigt sur « la particularité d’une crise aigue de l’eau, qui dure depuis plusieurs semaines, sans la moindre sanction, sans aucune démission. Ce qui dénote d’un profond mépris pour les populations.
Dans ces conditions, toute idée de dialogue relève d’une mascarade».
Au cours de sa conférence de presse, le député a également dénoncé « la multiplication des cas de délinquance en col blanc, l’impunité du fait d’une absence du service public de la justice » et il a vivement condamné « la détention arbitraire » de Abdoulaye Bâ, responsable des questions liées à la migration au sein de l’IRA.
Dans la première catégorie, favorable à la concertation, on peut citer les islamistes de TAWASSOUL, l’Union des Forces de Progrès (UFP)…. Alors que la mouvance abolitionniste du député Biram Dah Abeid, réclame « des mesures concrètes d’apaisement » de la part d’un pouvoir dont il dénonce « la multiplication des actes de mépris ».
Au-delà des informations sur les dernières tractations préliminaires au dialogue, le député BDA a abordé plusieurs questions, notamment l’actualité brûlante à travers le problème de l’eau, expression « d’une crise multiforme, dans un contexte marqué par une imposture politique, avec un pouvoir arraché par la force à l’occasion de l’élection présidentielle du 29 juin 2024 ».
Le leader abolitionniste a mis le doigt sur « la particularité d’une crise aigue de l’eau, qui dure depuis plusieurs semaines, sans la moindre sanction, sans aucune démission. Ce qui dénote d’un profond mépris pour les populations.
Dans ces conditions, toute idée de dialogue relève d’une mascarade».
Au cours de sa conférence de presse, le député a également dénoncé « la multiplication des cas de délinquance en col blanc, l’impunité du fait d’une absence du service public de la justice » et il a vivement condamné « la détention arbitraire » de Abdoulaye Bâ, responsable des questions liées à la migration au sein de l’IRA.