أنا الله و أنا اليه راجعون
Nous venons d’apprendre à l’instant le rappel à Dieu de notre cousin germain/ beau-frère, l’ancien ministre et éminence grise du PPM( Le parti du peuple mauritanien) de l’ancien régime de feu le président Moctar Ould Daddah, Abdoulaye Baro , plus communément connu dans la famille Sakho par le nom de Thierno Mouminiina( 1932-2025). Esprit très fin et brillant, il a traversé la vie politique mauritanienne comme une tête pensante, un technocrate au patriotisme indépassable. De son entrée au BPN ( Bureau Politique National) en 1966, jusqu’au coup d’état de juillet 1978 qui mit fin à l’ancien régime, il a toujours fait partie du brain trust de Ould Daddah, une sorte d’idéologue qui maniait avec dextérité et brillance les idées sociales de son temps. Il fera un petit « stint » a Dakar , comme conseiller du president Abdou Diouf, en matiere d’education , avant de revenir au pays, et devenir l’inamovible Secretaire General du gouvernment militaire mauritanien , dous l’ere de Mouawiya. Son cursus académique l’y aida beaucoup. Doublement Diplômé de La Sorbonne en Lettres et sciences humaines, he was second to none. Il avait de qui tenir. Petit-fils de Thierno Amadou Moctar Sakho ( Qaadi El quddat!) par sa mère Farmata Amadou Moctar Sakho qui était l’aînée de ses filles; il se rattache à la branche des Oulad Nokmach par sa grand-mère Mahjouba Mint Himyan, mais il a été , pratiquement, éduqué par mon père, son oncle maternel, Abdourahim Sakho. Du côté foutanke, il est l’arrière petit-fils de deux Almamy ( Thierno Hassan Baro et Thierno Ndiaye Baro). Son père , Mohamed Daouda Baro, remplaça son grand-père maternel , Amadou Moctar Sakho comme qadi , avant que son oncle maternel, mon homonyme Moctar Sakho, n’assure la relève de son père.
Comme le disait , tantôt, un aîné et cousin germain, c’est bien « le dernier des Mohicans », en référence au chef d’œuvre de Walter Scott.
Yo Allah yourmomo, yaafomo, haarnamo aljana.
Allahouma amine.
Mes pensées vont en premier lieu à son épouse, ma grande soeur Aminata Abdourahim Sakho , qui, par son dévouement, sa patience, a été sa compagne jusqu’à son dernier souffle. Mes sincères condoléances à mes neveux Mamadou Daouda et Abdarahmane, sans oublier mes nièces Mouminiina et Salima et leur maman Yaye Diaw . Mes condoléances à toute la famille Sakho
Moctar Sakho
Nous venons d’apprendre à l’instant le rappel à Dieu de notre cousin germain/ beau-frère, l’ancien ministre et éminence grise du PPM( Le parti du peuple mauritanien) de l’ancien régime de feu le président Moctar Ould Daddah, Abdoulaye Baro , plus communément connu dans la famille Sakho par le nom de Thierno Mouminiina( 1932-2025). Esprit très fin et brillant, il a traversé la vie politique mauritanienne comme une tête pensante, un technocrate au patriotisme indépassable. De son entrée au BPN ( Bureau Politique National) en 1966, jusqu’au coup d’état de juillet 1978 qui mit fin à l’ancien régime, il a toujours fait partie du brain trust de Ould Daddah, une sorte d’idéologue qui maniait avec dextérité et brillance les idées sociales de son temps. Il fera un petit « stint » a Dakar , comme conseiller du president Abdou Diouf, en matiere d’education , avant de revenir au pays, et devenir l’inamovible Secretaire General du gouvernment militaire mauritanien , dous l’ere de Mouawiya. Son cursus académique l’y aida beaucoup. Doublement Diplômé de La Sorbonne en Lettres et sciences humaines, he was second to none. Il avait de qui tenir. Petit-fils de Thierno Amadou Moctar Sakho ( Qaadi El quddat!) par sa mère Farmata Amadou Moctar Sakho qui était l’aînée de ses filles; il se rattache à la branche des Oulad Nokmach par sa grand-mère Mahjouba Mint Himyan, mais il a été , pratiquement, éduqué par mon père, son oncle maternel, Abdourahim Sakho. Du côté foutanke, il est l’arrière petit-fils de deux Almamy ( Thierno Hassan Baro et Thierno Ndiaye Baro). Son père , Mohamed Daouda Baro, remplaça son grand-père maternel , Amadou Moctar Sakho comme qadi , avant que son oncle maternel, mon homonyme Moctar Sakho, n’assure la relève de son père.
Comme le disait , tantôt, un aîné et cousin germain, c’est bien « le dernier des Mohicans », en référence au chef d’œuvre de Walter Scott.
Yo Allah yourmomo, yaafomo, haarnamo aljana.
Allahouma amine.
Mes pensées vont en premier lieu à son épouse, ma grande soeur Aminata Abdourahim Sakho , qui, par son dévouement, sa patience, a été sa compagne jusqu’à son dernier souffle. Mes sincères condoléances à mes neveux Mamadou Daouda et Abdarahmane, sans oublier mes nièces Mouminiina et Salima et leur maman Yaye Diaw . Mes condoléances à toute la famille Sakho
Moctar Sakho